Histoire du Privilége de Saint Romain/Errata et addenda


ERRATA ET ADDENDA


TOME PREMIER.


Page 6. — L’auteur, sur la foi d’Estienne Pasquier, cite Grégoire De Tours comme n’ayant point parlé de saint Romain ; mais il était impossible que Grégoire De Tours, mort en 595, parlât de saint Romain, sacré évêque de Rouen en 626 seulement, et mort vers 638.

Page 8, ligne 8. — 1108, lisez : 1080.

Page 168 et suivantes. — Sursbérick, lisez : Talbot, comte de Shrewsbury ; car c’est de l’illustre Talbot, l’Achille anglais, qu’il s’agit encore ici. En récompense des immenses services qu’il avait rendus aux rois Henri V et Henri VI, il avait été élevé, le 20 mai 1442, à la dignité de comte de Shrewsbury. Les registres du chapitre, qui, précédemment, l’appelaient Talbot, lui donnent constamment, dans le récit de 1444, le titre de comte de Sursbérick, que l’auteur a reproduit avec trop de confiance. Depuis, en réfléchissant au rôle important que le chapitre faisait jouer à ce prétendu comte de Sursbérik, et à l’obscurité de ce nom de Sursbérik, que l’on ne voit pas ailleurs, l’auteur soupçonna une méprise ; il se souvint que Talbot, à son nom si illustre, avait joint le titre de comte de Shrewsbury ; que Talbot était gouverneur du Vieux-Palais, alors dit le Palais-Royal ; et maintenant il est sûr, à n’en pouvoir douter, que Talbot, comte de Shrewsbury, est le héros des scènes assez vives qui eurent lieu en 1444 entre le chapitre de Rouen et les officiers du roi. Postérieurement, dans les registres du chapitre, il est encore question de Talbot, qui y est appelé Talbot, tout simplement, sans aucune addition de qualités, notamment dans le registre du 22 septembre 1444, où on le voit figurer comme parrain d’une fille du duc d’York.

Page 460, ligne 23. — préléminaire, lisez : préliminaire.

Page 487, ligne 20. — Andrianum, lisez : Adrianum.

Page 534, en marge. — 1830, lisez : 1630.


TOME DEUXIÈME.


Page 217, ligne 22. — avait, lisez : avaient.

Page 336, ligne 16. — s’était, lisez : s’étaient.

Page 387, année 1523. — M. l’abbé De La Rue, dans ses Essais historiques sur la ville de Caen, tom. 1er, page 367, dit qu’en 1522 Jean Le Landois, sieur d’Hérouville, « fut condamné, par arrêt du parlement, pour avoir altéré le papier-terrier de la paroisse d’Hérouville, afin d’usurper les droits du roi, de l’Hôtel-Dieu de Caen, de l’abbaye du Val, et des autres possesseurs de fiefs de cette commune. »

Page 397, ligne 22. — En marge, 1537, lisez : 1538.

Page 470, ligne Ire. — En marge, lisez : 1641.

Page 481, ligne Ire. — En marge, lisez : 1660.