Héléna (1822)/Introduction

Héléna (1822)
Poëmes. Héléna,Pélicierle Somnambule, la Fille de Jephté, la Femme adultère, le Bal, la Prison, etc. (p. 5).



Dans quelques instans de loisirs j’ai fait des vers inutiles ; on les lira peut-être, mais on n’en retirera aucune leçon pour nos temps. Tous plaignent des infortunes qui tiennent aux peines du cœur, et peu d’entre mes ouvrages se rattacheront à des intérêts politiques. Puisse du moins le premier de ces Poëmes n’être pas sorti infructueusement de ma plume ! Je serai content s’il échauffe un cœur de plus pour une cause sacrée. Défenseur de toute légitimité, je nie et je combats celle du pouvoir Ottoman.