Discussion Auteur:Jeanne Valcler

1906 En Marge Ma Meilleure pensée Consolations

Arbrize

  • 1893 Gil Blas 29 avril [1]

Mardi prochain, 2 mai sera célébré en l'église Saint-Philippe du Roule, le mariage de M. E Célérier, artiste peintre dont nous remarquons chaque année les oeuvres au Salon du Champ-de-Mars, avec mademoiselle Valentine Richard, fille de M. Raoul Richard, juge au tribunal de la Seine.

  • 12 aout 1931 : directrice du théâtre des mathurin, accident de voiture [2] Le Populaire : journal-revue hebdomadaire de propagande so…
  • 21 septembre 1913 Gil Blas [3]

Nous apprenons avec tristesse la mort, après une cruelle opétation, de M. Célerier, l’industriel bien connu. M. Célerier était le mari de Mme Célerier (en littérature Mme Valcler) à qui nous devons plusieurs oeuvres d'une grande émotion et d'une rare qualité psychologique

  • 1913 [4] transmission de marque à dame veuve E. Célérier, née Berthe-Louise-Céline-Valentine Richard et à ses trois enfants mineurs
  • A fait partie de l’Abbaye de Créteil [5]
  • 1933 : L'Œil de Paris [6]

L’ « autre », c'est Mme Valcler, négociante en chocolat et dramaturge, qui avait un moment fait bénéficier les Mathurins (théâtre) de son génie et de ses capitaux

  • [7] Parmi les poètes, il connut : Paul Fort ; René Ghil, qui organisait des vendredis littéraires ; Pierre Quillard, arménophile ; Jeanne Valcler, poétesse et dramaturge qui fut semble-t-il liée à "L'Abbaye" de Créteil-"Groupe fraternel d'artistes" (1906-1908)
  • Le Penseur 1912 [8]

Consolations, par J. VALCLER (Lib. Figuière). Il y a de la pensée, du sentiment et de l'art dans les poèmes en prose de Mme J. Valcler, et le volume est imprimé avec élégance.

  • 1 mars 1931 : L'Œil de Paris [9] La patronne

On se rappelle peut-être qu'une pièce intitulée Institut de Beauté fut représentée, à la fin de l'année dernière, au Théâtre de la Potinière, où elle eut deux représentations, la répétition générale comprise.

L'auteur, Mme J. Valcler, devant les protestations du public, n'avait pas osé insister,, mais elle annonçait néanmoins que sa pièce serait reprise un jour et que ce jour-là on lui rendrait justice.

L'heure de la justicene se sera pas fait trop attendre, puisque la pièce de Mme Valcler va être reprise bientôt à la Comédie-Caumarthl.

Le directeur avisé qui entreprend, dans la circonstance, de faire.reviser le verdict du premier public, est M. Jean Sarrus, qui fut financier et journaliste.

Le commanditaire de M. Sarrus s'appelle Mme J, Valcler. '

Mais avant de reprendre la pièce de celle-ci, M. Sarrus ouvrira sa direction avec une comédie de M. Léon Treich, dont le sujet se déroule dans les milieux parlementaires. Et cela suffit à nous expliquer pourquoi M. Treich, dans le dernier numéro du Carrefour, trouve qu'on a été « bien injuste » pour Institut de Beauté.

  • Paris-soir Le Prix Valcler 2 janvier 1927 :

[10]

  • 1932 : L'Œil de Paris [11] La patronne

Art et alimentation

La propriétaire d'une importante firme d'aliments farineux, Mme Célérier, pourrait vivre tranquille, à l'abri de ses rentes, qui sont confortables. Mais Mme Célérier se croit une artiste. Elle écrit des pièces d'un style et d'une inspiration hermétiques qu'elle s'obstine à vouloir faire représenter.

Il y a deux ans, pour monter une de ses œuvres : 'Institut de Beauté, elle avait acheté le théâtre des Mathurins, avec là « bonne volonté » de quelques hommes d'affaires. La pièce eut dix représentations et, avec la collaboration de tous les artisans de ce spectacle, coûta une fortune à la richissime auteur, qui signait J. Valcler.

Dégoûtée du théâtre, Mme Célérier-Valcler voulut faire du cinéma. Elle tira d'une de ses autres pièces un scénario qu'elle signa, cette fois, Clerval. Le film devait s'appeler Barriole. Elle le commandita. Cela lui coûta une autre fortune et permit à une firme cinématographique d'éviter la débâcle.

Ce film sera-t-il jamais présenté au public ?

  • Mariage 29 avril 1893 1893 acte 358 page 15/31 [12]

L'an mil huit cent quatre vingt treize, le 29 avril, à 4 het demi du soir : acte de mariage de Edouard Emmanuel Célérier, né à Paris, le 29 avril, 1865, sans profession, domicili domicilié à Paris, quai de Billy, 54, avec ses père et mère, fils majeur de Emile Célérier, négociant et de Marie Moutier, son épouse sans profession, présents et consentants, d'une part et de Berthe Louise Céline Valentine Richard, née à Rouen (Seine-Inférieur) le 4 novembre 1872 sans profession, domiciliée à paris, faubourg st Honoré 136, avec ses père et mère, fille mineure de Raoul Edouard Richard, juge au tribunal civil de la seine, officier de l'instruction publique et de Marie Anne Joséphine Descoustines, son épouse sans profession, présents et consentants d'autre part. Dressé…

  • Acte de naissance et mention marginale du décès

63 / 189 acte 2257 [13] 21 juillet 1959 Décédée à Lyon 1er (Rhones)

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