| Informations sur l’édition de Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices |
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Édition : Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices, ou Confessions curieuses et galantes de ces dames , rédigées par une bayadère de l’Opéra, Anonyme Source : Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 14 août 2020 à 14:00 (UTC) Remarques : Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 14 août 2020 à 14:00 (UTC) |
| Titre : | Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices, ou Confessions curieuses et galantes de ces dames , rédigées par une bayadère de l’Opéra |
| Auteur : | Bayadère de l’opéra, Une. Auteur du texte |
| Éditeur : | A Couillopolis. 1700 [i.e. ca 1833] |
| Date d'édition : | 1833 |
| Type : | text |
| Type : | monographie imprimée |
| Langue : | français |
| Format : | 69 p., [4] f. de pl. ; in-18 |
| Format : | Nombre total de vues : 85 |
| Droits : | domaine public |
| Identifiant : | ark:/12148/bpt6k1525485z |
| Source : | Gallica, département Réserve des livres rares, Enfer-898 |
| Notice du catalogue : |
(FR-BNF 35941267h) |
| Provenance : | Bibliothèque nationale de France |
| Date de mise en ligne : |
09/08/2020 |
Informations sur cette édition modifier
- Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 1, col. 180 : « Amours, galanteries et passe-temps des actrices, ou Confessions curieuses et galantes de ces Dames, rédigées par une bayadère de l’Opéra. A C....opolis, 1700, in-32 de 69 p. (Paris, vers 1833) — A été réimprimé plusieurs fois : en 70 p. à Genève, vers 1865. Léopoldville (Brux.), 1890, in-18, avec 5 grav. lib. très médiocres (10 fr.). — Amst., s. d. et sans grav. (5 fr.).
Quelques anecdotes sur Mlle Bourgoin et autres actrices de Paris ; la plupart de leurs noms sont défigurés, et le style est très mauvais, ce qui rend la lecture de cette brochure presque impossible Mais, au début, elle servit de prétexte à un album de 12 grav., plus un frontispice libre ; son texte en est l’élucidation. Ces gravures, dont il a été tiré des épreuves sur chine, sont bien exécutées (Scheible, 4 fl. 36 kr. Della Rosa, en 1880, 12 fr.). » - Voir Dictionnaire des œuvres érotiques, Mercure de France, 1971, p. 26 la notice de Marc de Smedt : « AMOURS (Les) GALANTERIES ET PASSE-TEMPS DES ACTRICES ou Confessions curieuses et galantes de ces dames, « rédigées par une bayadère de l’Opéra… 1700. » Publié vers 1833. — Ce petit recueil veut nous faire entrer dans l’intimité des actrices. La scène se passe en attendant le café après un dîner bien arrosé ; les dames se sont retirées laissant les hommes parler politique ; à tour de rôle, elles content l’épisode de leur vie galante où elles eurent le plus de plaisir. Nous suivons ainsi douze récits décrivant autant de postures de prédilection, en autant de lieux différents : fourrés, bois, chaises d’antichambre, lits, sombres détours de couloirs, voilà les supports de l’action. Le style, volontiers métaphorique, demeure néanmoins des plus transparents : « Je saisissais ce charmant serpent … puis quand sa tête, rougissant de colère de se voir ainsi captif … et guidant moi-même le monstre aimable dont la fureur me menaçait… » Ces dames sont précieuses jusque dans leurs ébats les plus effrontés : « Jouant avec la forme de ma motte, il m’inspira je ne sais quel désir de volupté… » Trois de ces jeunes femmes aiment surtout à goûter les plaisirs dits de la « petite oie », donc du simple pelotage, par peur des conséquences… On remarque que le cadre et l’impromptu de la situation jouent un rôle essentiel, créant la force inoubliable de l’orgasme raconté. M. de S. »
- Voir la note dans les Livres de l’Enfer, par Pascal Pia, éd. 1998, Fayard, p. 47, cols. 49-50 : « Les Amours, / galanteries et passe-temps / des actrices, / ou / Confessions / curieuses et galantes de ces dames, / rédigées / par une bayadère de l'Opéra. / Jouir, c’est tout. / (Maximes d’une Comédienne.) / - / A Couillopolis. / 1700.
1 vol. in-12 tellière (9,2 x 14,4) de 70 pages, faux-titre et titre compris, plus un nombre variable de lithographies. Couverture muette, papier rose ou jaune.
Le contenu de l’ouvrage exclut qu’il ait pu y en avoir une édition en 1700. Il y est question de comédiennes célèbres au début de la Restauration, comme Mlle Bourgoin, ou d'artistes dramatiques et lyriques affublées par l’auteur de noms très proches de ceux que portaient vers 1830 des vedettes de la scène : Jenny Dupré, au lieu de Jenny Vertpré, Jenny Coton, au lieu de Jenny Colon.
Selon la Bibliographie Gay, « cet ouvrage, publié vers 1833, servit de prétexte à un album de 12 gravures, plus un frontispice libre; son texte en est l'élucidation ». Cette assertion est bien contradictoire. On ne saurait dire, après l'avoir lue, si le bibliographe pense que les gravures ont été dessinées d’après le texte, ou si celui-ci a été rédigé pour accompagner des gravures déjà exécutées. Quoi qu’il en soit, le mot « gravures » convient mal aux illustrations que comportent les exemplaires que nous connaissons de cet Ouvrage et qui sont toutes des lithographies.
B.N. Enfer, 898. Exemplaire illustré de quatre lithographies libres à légende, tirées Sur papier teinté. Ces quatre lithographies portent chacune une référence trompeuse : pl. 17, pl. 26, pl 50 et pl. 60. Il ne s'agit pas de planches 17, 26, etc., mais de lithographies dont la légende montre qu'elles se rapportent aux pages 17, 26, 50 et 60 de l’ouvrage. Cart. papier marbré rouge..../...