Dictionnaire de théologie catholique/ESPRIT-SAINT. II. PROCESSION DU PÈRE ET DU FILS IV. D'après les théologiens

Dictionnaire de théologie catholique
Letouzey et Ané (Tome 5.1 : ENCHANTEMENT - EUCHARISTIEp. 420-429).

IV. D’après les théologiens.

Arguments positifs.

La procession du Saint-Esprit du Fils résulte aussi des considérations spéculatives que les théologiens ont faites sur le mystère de la Trinité.

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Il y a, eu effet, un certain nombre de principes communs à la tliéolo, i, ’ie trinitaire grecque et latine, principes qu’on ne saurait répudier sans bouleverser en nême temps l’cconomie divine de la sainte Trinité. De ces principes, par une série de déductions rigoureuses, la spéculation théologique établit que le Saint-Esprit ]5rocède du Père et du Fils. Rejeter cette conclusion après avoir accepté les principes d’où elle a été déduite, ce serait ou renier les principes eux-mêmes, ou violer les lois immuables de la pensée, les règles les plus élémentaires de la logique.

D’après la théologie grecque et latine, le Saint-Esprit est la troisièiue personne de la sainte Trinité. 11 procède donc du Père ayant engendre le Fils ; il s’ensuit que le Fils a sur le Saint-Esprit une priorité d’or141ne. Cette priorité n’entraîne pas avec elle une priorité chronologique, car les processions divines s’accomplissent toutes dans le perpetinim nunc de l’éternité. Si le Saint-Esprit procède donc du Père ayant engendré le Fils, dans l’ordre des processions divines, il présuppose à la fois le Père et le Fils.

Mais il y a un autre principe commun à la théologie trinitaire de l’Orient et de l’Occident. Saint Athanase déclare qu’on attribue au Fils tout ce qu’on attril )ue au Père, excepté la paternité. Oral., iii, contra nrianos, 3, 4, P. G., t. xxvi, col. 328. La même doctrine est exposée par les Pères grecs du iv<e siècle, en particulier par saint Basile. De fuie, 2, P. G., t. xxxi, p. -165, 468. Cette doctrine des Pères grecs est con<lensée dans la formule suivante : Tout est commun aux personnes divines, excepté s’il y a opposition de relations personnelles. Or, rEsprit-Saint, en tant qu’il est troisième jîersonne, présuppose le Père et le Fils, et entre le Père et le Fils tout est commun, hors les relations opposées de paternité et de filiation. Si cela est vrai, nous devons nécessairement admettre que le pouvoir de produire le Saint-Esprit appartient eu même tenips au Père et au I-’ils, parce que ce pouvoir ne s’oppose ni à la paternité ni à la filiation. Saint Thomas résume ainsi cet argument : Pater et Filins in omnibus m unum sunl, in quitus non dislinguil inlcr eos relalionis oppnsilio. Unde cnm in hoc, quod est esse principium Spirilus Sancli, non opponantur relative, sequitur quod Pater et Filius sunt unum principium Spirilus Sancli-Sum. theoL, I » , q. xxxvi, a. 4. C-j qui ne sépare pas le Père et le Fils, argumente Grégoire Mamnias, est commun au Père et au Fils ; mais la spiralion du Saint-Esprit ne sépare pas le Père et le Fils. Elle appartient donc au Père et au Fils. Ad imperalorem Trapezunlis, 6, P. G., t. CLX, col. 213.

Eu d’autres termes, à la lumière de la révélation, nous posons une distinction réelle entre les relations pcrsouuelh’s en Dieu, nous admettons entre les personnes divines une priorité et postériorité d’origine. Sans cet ordre des processions divines, sans cette àxo/ou’ii’a /.x-.’x Tx’iv, nous ne pourrions plus parler d’une seconde et d’une troisième pers()niu’s eu Dieu. L’unité de Dieu serait sauvegardée, mais la distinction réelle des hypostases divines s’évanouirait. Si cet ordre d’origine est donc nécessaire, le I-ils, en tant qu’il est la seconde personne, ne saurait être la troisième ; le Saint-Esprit, en tant qu’il est la troisième, ne saurait être la econde. Et si le Saint-Esprit est ncces.saireinent le troisième dans l’ordre d’origine, il est évident qu’il dépend, quant à sou origine, de la seconde personne, de même que le fruit, pour donner un exemple que les Pères grecs citent communément, dépend à la fois de la racine et de la branche.

La théologie orthodoxe n’a jamais su répondre h cet argument qui se résume dans le syllogisme suivant : « D’après l’ordre d’origine, énoncé comme nécessaire dans l’Écriture sainte et la tradition, la génération du Verbe précède logiquement la procession du Saint Esprit ; mais le Fils en naissant reçoit du Père toutes ses perfections et ses énergies divines, hors la seule paternité ; le Fils donc reçoit du Père la nature divine, et avec elle l’énergie spiratrice du Saint-Esprit et, par conséquent, il est avec le Père le principe du Saint-Esprit. » La force démonstrative de cet argument est telle que plusieurs théologiens russes de notre temps ont été obligés d’avouer que, au point de vue de la spéculation théologique, le Filioque renferme une parcelle de vérité. Kireev, A propos de la question vicux-catliotique, dans Bogoslovskij Vicslnik, Scrghiévo, 1807, t. i, p. 326 ; Livansky, U archiprêlre Janychev et la nouvelle crise doclrincde de l’Église russe, Fribourg, 1888, p. iv-V. Cf. Palmieri, La consustanzialita divinae la proccssione dello Spirito S(U}to, Rome, 1900, p. 0.

2 » Solution des objections. — La Myslugogic de Photius renferme de nombreuses objections théologiques contre la procession du Saint-Esprit ab ulroquc. Photius y déploie en pure perte toute la souplesse de son esprit dialectique. Ses objections, ainsi que celles de .Jean Phournès, Nicolas de Méthone, Théophylacte de Bulgarie, ont été vigoureusement réfutées par Jean A’ekkos, De unione Ecclesiarum, 35-68, P. G., t. cxli, col. 94-156. Elles ont été reprises, de nos jours, par le métropolite Macaire, op. cit., t. i, p. 343-347, et le docteur Gouscv, de l’Académie ecclésiastique de Kazan, Une apologie jésuitique de la doctrine du Filioque, Moscou, 1900.

La théologie orthodoxe reproche d’abord à la théologie latine des tendances rationalistes. D’après Gousev, les arguments théologiques latins qui établissent le Filioque se conforment aux lois de la pensée humaine et aux principes de la logique et de l’ontologie, mais ils ne répondent jias aux témoignages de l’Écriture sainte et de la tradition. Op. cit., p. 10. Si nous comprenons bien la portée de ce reproche et si nous en tirons les conséquences, la contradiction serait possible entre les vérités de l’ordre surnaturel et les vérités de l’ordre naturel ; une proposition pourrait i être conforme aux lois de la dialectique et, en même I temps, contraire à la révélation divine. Il va sans dire I que cet axiome ruine de fond en comble la base sur laquelle repose l’apologétique du christianisme. La théologie orthodoxe, aussi bien que la théologie catholique, soutient cette thèse, que Dieu, comme vérité essentielle, est la source de toute vérité, et que la vérité créée découle de Dieu. Il n’y a donc pas de contradiction i)Ossible entre cette vérité et la vérité incréée, car, si elle était possible, Dieu lui-même serait à la fois le principe de la vérité et le principe de l’erreur.

La théologie catholique, à l’égard du Filioque, n’innove pas dans le domaine de l’apologétique traditionnelle ; elle n’est pas asservie, comme le jirétend Gousev, aux sophismes captieux d’un rationalisme sui generis. Op. cit., j). 10. Les Pères de l’Église ont été les premiers à donner rexemple d’élargir les horizons de la pensée chrétienne dans l’étude du mystère de la Trinité. La nécessité d’en appeler A la raison, ; la logique, pour montrer, en partant de principes révélés, que la procession du Saiut-lCsprit est exigée par l’économie divine de la sainte Trinité, n’est donc pas le produit du rationalisme théologique de l’iiglise latine. La théologie latine a marché sur les traces des Pères et, en même temps, a dû suivre l’exemple de Pliotius.qui, le premier, a transporté la controverse du Filioque sur le terrain rationnel. La Mystagogie, en elTct, est toute tissée d’arguments théologiques et de subtilités dialectiques, Hergenrothcr, J’hotius, t. iii, p. 400, et c’est pour réfuter ses sophismes quc la théologie latine s’est placée sur le même terrain. D’ailleurs, s’il est iiennis aux théologiens orthodoxes de combattre le Filioque par des raisons theologiqucs, 81Î

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sans encourir le reproche de rationalisme, ne serait-il pas injuste de chicaner les latins uniquement parce qu’ils appuient sur les mêmes raisons leur crojance dogmatique ?

On objecte que, par le Filiorjiic, la théologie latine confond en Dieu les notions et les propriétés personnelles. Si le Fils, dit la théologie orthodoxe, possède tout ce qui est au Père et pour cela produit le Saint-Esprit avec le Père, nous devrions en conclure que le Fils participe aussi à l’innascibilité du Père, parce qu’il est consubstantiel au Père.

La théologie catholique ne pose aucun principe qui aboutisse à ces absurdes conséquences. D’après son enseignement, la seule consubstantialité divine n’explique pas la dépendance du Saint-Esprit vis-à-vis du Fils quant à l’origine. L’essence divine, considérée en elle-même, simpliciler, absoliilc, diraient les scolastiques, n’engendre pas ni n’est engendrée : elleest une et indivisible. Mais cette essence, en tant qu’elle est relative, c’est-à-dire en tant qu’elle subsiste hypostatiquement par une relation personnelle, est le principe ou le terme d’une opération vitale immanente. L’essence divine, entant qu’elle est marquée (nous traduisons ainsi le mot scolastique connolata) par la raison formelle de filiation, estengendrée ; lamême essence, en tant qu’elle est marquée par la raison formelle de spiration passive (ixTtops-JT’. ;), procède. La consubstantialité divine n’est donc pas le principe des processions divines. Ce principe nous est donné, si on peut s’exprimer ainsi, par l’essence personnifiée.

La théologie orthodoxe distingue avec la théologie latine la communauté d’essence et la distinction de subsistance hypostatique. In sancta Trinitate omnia sunt sinqnlis subsistentiis seu personis communia, exccplis solis subsistendi modis. Nam in sancta Triniiale quidquid est, aul subsiantia est, aul subsislenlia. Neccsse ergo est, ut quæcumque de Deo dicuntur, vel dicanliir ratione substantiæ, et hoc erit omnibus personis commune, vel ratione subsistentiie, et hoc erit uni lantum proprium personæ. Procopovitch, op. cit., p. 153. Mais en réalité elle n’établit qu’une seule et même relation personnelle entre le Père et le Fils d’une part, le Père et le Saint-Esprit de l’autre, et supprime ainsi la distinction réelle entre le Fils et le Saint-Esprit. En effet, les théologiens orthodoxes déclarent que, si le Fils est avec le Père le principe du Saint-Esprit, il serait le Père du Saint-Esprit, ce qui ferait en Dieu une double relation de paternité. Cela signifie que la paternité divine, dont le terme opposé est le Fils engendré, ne se distingue pas de la spiration active, à laquelle s’oppose comme terme le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit, qui ne se rapporte pas au Père comme terme de la paternité divine, serait ainsi le terme essentiel de cette même paternité. Et en étant le terme de la même relation personnelle du Fils, il s’identifierait avec le Fils, parce que le Fils ne peut ne pas être le terme de la paternité divine. Si d/fa/ur, remarque le cardinal Hengenrother, Spirilus Sanctus ex Paire ul Pcdre procedere, jam Spiritus diceretur Filius, ac Filii prærogaliva destilueretur. Quod si dicatur procedere ex Paire, qualenus est Deus vel quatenus est spirator, quum hic nulla relaliva opposilio habeatur ad Filium, Filius nequil excludi. Raliocinantur theologi. Spirilus Sanctus procedit ex Paire, aul qualenus est Pater, aul quatenus est Deus. Si prius, Spirilus Sanctus necessario erit Filius, quod contra revelalionem ; si poslerius, tune procedit eliam ex Filio, quia nullum signum concipi potest quo Pater sit Deus, quo Filius seque non sit Deus. Proinde aul duo Filii ex Trinitate, aul processio Spirilus Sancli eliam a Filio rata est. Animaduersiones, P. G., t. en, col. 478, 479. Pour réfuter l’objection photienne, il suffit d’exposer clairement la doctrine catholique. Le Père parla génération se distingue duFils, qui est le terme immanent

de cette génération ; le Père par la spiration active se distingue aussi du Saint-Esprit, qui est le terme immanent de cette spiration. Cette distinction établie, nous nous posons cette question : Est-ce que le Père se distingue du Fils par la spiration active dont le terme est le Saint-Esprit ? Lorsque nous disons que le Père engendre le Fils, nous concevons dans le Père l’essence divine marquée hypostatiquement par la relation de paternité qui est le principe d’une réelle distinction entre le Père et le I-’ils. Lorsque nous disons que le Père produit le Saint-Esprit, nous concevons l’essence du Père déjà marquée hypostatiquement par la relation de paternité, puisque dans l’ordre d’origine la spiration vient après la génération. Mais en même temps nous attribuons au Père une opération immanente, en vertu de laquelle il ne s’oppose pas au Fils, il ne se distingue pas du Fils, parce que seules la paternité et la filiation sont les propriétés constitutives de la première et de la seconde personne.

Lorsque nous disons que le Père produit le Saint-Esprit, nous déclarons qu’il est le principe d’une opération Immanente, qui pose une distinction entre le Père et le Saint-Esprit, non pas entre le Père et le Fils. Le Fils peut et doit donc participer à cette opération. Et nous exprimons cette participation, lorsque nous déclarons que le Saint-Esprit procède du Fils aussi bien que du Père. Le sophisme de la théologie orthodoxe aurait une valeur démonstrative, si on pouvait démontrer cjue la spiration active soit une propriété personnelle cjui oppose le Père au Fils, et en vertu de cette opposition empêche le Père de la communiquer au Fils. Mais cette démonstration n’est guère possible, parce que la théologie orthodoxe admet que les seules propriétés personnelles de paternité et de filiation distinguent le Père et le Fils.

Une autre objection de la théologie orthodoxe est ainsi conçue : « Si le Fils est le principe de la spiration du Saint-Esprit, parce qu’il possède tout ce que le Père possède, le Saint-Esprit aussi, qui possède tout ce qui est au Père, excepté l’innascibilité, et qui ne se distingue pas du Père par la paternité, participe à la gêné- < ration du Fils. » Chi-ysostome, op. cit., t.ii, p. 368. Ce sophisme repose sur la négation de l’ordre des processions divines. La foi nous enseigne que le Père immuable est la première personne, le Fils la seconde, le Saint-Esprit la troisième. La tradition des Pères est unanime à représenter cet ordre d’origine comme innascible. Mais en disant que le Saint-Esprit pourrait être avec le Père le principe de la génération du Fils, nous le bouleverserions, nous établirions que le Saint-Esprit est la troisième personne et qu’il serait en même temps la seconde, parce qu’il serait avec le Père le principe du Fils. Il ne répugne pas que le Fils soit avec le Père le principe de la spiration du Saint-Esprit, parce qu’il ne répugne pas que la seconde personne dans l’ordre d’origine communique son être participé à la troisième personne. Mais il répugne que la seconde personne dérive en même temps de la première et de la troisième, parce que, dans ce cas, le Saint-Esprit serait la seconde personne et le Fils la troisième.

Pour échapper à l’argumentation de la théologie latine, quelques théologiens orthodoxes vont jusqu’à nier l’immutabilité de l’ordre des processions divines : « Est-ce vrai, dit le docteur Gousev, qu’il y a un ordre d’origine entre les trois personnes en Dieu ? On trouve^ dans l’Écriture sainte, des textes qui n’expriment pas cet ordre avec précision. Par exemple, la 11*^ Épître aux Corinthiens se termine par ces mots : Que la grâce de Noire-Seigneur Jésus-Clirisl, l’amour de Dieu et la communication du Saint-Esprit soit avec vous. En professant la foi à la sainte Trinité, nous employons à l’égard du Père, du Fils et du Saint-Esprit les dénominations de première, seconde et troisième personnes^

JMals s’ensuit-il qu’il faille admettre entre les personnes divines cet ordo consequenlisel Pour être acceptable, une telle déduction aurait besoin de s’appuyer sur l’Écriture sainte et la tradition ecclésiastique. Et cependant, CCS sources de la (oi clwétienne ne conliennent pas la plus pelile allusion à un ordre quelconque de succession entre la naissance du Fils et la procession du Saint-Esprit. » Op. cit., p. 12. Le docteur Gousev ne parle pas ici d’une succession chronologique, mais d’une succession logique. Il semble oublier ou ignorer que cet ordre d’origine, révoque en doute par la théologie orthodoxe, est fixé dans la formule du baptême et dans les prières liturgiques ; que toute la théologie grecque, depuis ses origines jusqu’à Photius, considère le Saint-Esprit comme la troisième personne en Dieu ; que, d’après saint Irénée, per Spirilum quidem ad Filium, per Filium autem ascendinms ad Palrem. Cont, hser., V, 36, 2, P. G., t. vii, col. 1223. On ne dira jamais dans la théologie chrétienne que le Saint-Esprit est la seconde personne de la Trinité et le Fils la troisième.

D’après le même théologien, les dénominations de Père, Fils et Saint-Esprit « ne nous manifestent pas en quoi consiste essentiellement la paternité, la génération et la procession en Dieu, ou quelle est la différence entre la procession et la génération. Les termes de Père, Fils et Saint-Espril signifient seulement l’ordre de la manifestation aux hommes des personnes de la sainte Trinité. » Op. cit., p. 13. S’il en est ainsi, nous devons en conclureque la distinction entre les personnes divines n’existe pas en Dieu, mais dans le monde extérieur ; que Dieu s’appelle Père, Fils et Saint-Esprit uniquement parce qu’il se révèle au genre humain àdilïérentes époques. Or, une relation arf exira ne peut pas être le principe d’une distinction réelle dans l’être divin. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne seraient donc pas trois hypostascs distinctes, mais trois modes d’existence du Dieu unique, et nous tomberions en plein sabellianismc. Si la théologie orthodoxe professe la distinction hypostatiquc des trois personnes divines, ce n’est pas hors de Dieu qu’elle doit chercher la cause de cette distinction. Cette cause doit être éternelle et intrinsèque, car, si elle était temporelle et extérieure, les personnes divines elles-mêmes seraient produites dans le temps, c’est-à-dire ne seraient pas consubstantielles au Père.

Une autre objection, qui depuis Pholius revient invariablement dans tous les manuels de théologie orthodoxe, est la suivante : « Si le Saint-Esprit procède du Père et du ImIs, il faut admettre en Dieu deux principes. » Nous avons cité plus haut les textes des conciles de Lyon et de Florence qui établissent sur ce point la doctrine de l’Église catholique. Les conciles ne font que sanctionner la doctrine de saint.ugustiii. De Trinitatc, v, 11, l.j, P. L., t. xlii, col.’.)20.’. » 21 ; Contra McLtiminum, ii, 17, 4, ibid., co. 784, 78.5 ; de Ratramne de Corbic, Contra r/rœcorum opposit<i, iii, 4, P. L., t. cxxi, col. 293, 294 ; d’Énée de Paris, Liber aduersus grsecos, 47, ibid., col. 710. Saint Anselme répond admirablement à cette objection : Le Saint-ICsprit procède du Père et du Fils, non pas de lioc unde duo sunt, mais de hoc in quo unum sunt. Lorsque nous disons que Dieu est le principe de la création, nous savons bien que le Père, le l’ils et le Saint-Esprit produisent ensemble les êtres créés, mais ils ne sont pas trois principes distincts, trois créateurs. Car ils créent per hoc in quo unum sunt, non per hoc in quo très sunt. De processione Spiritus Sancti, xiii, P.L., t. cviii, col. 311, 312. La théologie catholique déclare que le Père et le Fils sont le principe unique du Saint-Esprit, parce que la force spirative qui produit le Saint-Esprit est unique, comnume au Père et au Fils. L’unité de cette force dépend de ce qu’elle ne produit pas une opposition de relations personnelles entre le Père et le Fils.

Conclusion.

Le métropolite Macaire termine

ainsi son réquisitoire contre la croyance dogmatique de l’Église latine : « A l’égard de la procession du Saint-Esprit, la doctrine de l’Église d’Occident a pour base, non la parole de Dieu, mais seulement une fausse interprétation de quelques-uns de ses passages ; non les anciens symboles de l’Église et les conciles œcuméniques, mais seulement quelques petits conciles provinciaux, tenus en Espagne depuis le v » siècle, et le concile d’Aix-la-Chapelle, réuni au commencement du ixe siècle ; non la doctrine unanime des saints Pères et docteurs de l’Église, mais seulement une fausse interprétation de leur doctrine, ou des altérations, voire des interpolations faites à leurs témoignages, et un petit nombre d’expressions de certains docteurs du v= et du vi'e siècle, d’une authenticité également douteuse ; enfin leur doctrine paraît contradictoire et peu fondée, même au tribunal de la raison. » Op. cit., p. 347, 348. Les textes que nous avons cités, les arguments que nous avons exposés donnent la meilleure réponse à ces attaques inspirées plus par la mauvaise foi que par l’ignorance. La négation du dogme latin, nous l’avons vu en examinant la doctrine du docteur Gousev, supprime la pluralité des personnes en Dieu et réduit celles-ci à de simples modalités de l’être divin. Nous n’avons pas à insister sur ce point et nous renvoyons à la Dogmatique de Scheeben où il est prouvé que l’erreur de la théologie orthodoxe bouleverse et morcelle la Trinité dans ses détails, trouble et dénature l’unité de la Trinité dans son ensemble. T. ii, n. 888-890, p. 603-605.

Remarquons en passant que la théologie latine ne prétend pas imposer à la théologie grecque ses formules, sa terminologie. Pourvu qu’on croie que le Fils participe avec le Père à la procession du Saint-Esprit, elle n’exige pas que l’on adopte la formule a Patrc Filioque, au lieu de la formule a Paire per Filiun^ ; elle pourrait même tolérer que l’on dise que le Saint-Esprit procède d’une seule cause primordiale, du Père. La différence de langage entre grecs et latins a poussé les théologiens à chercher une voie irénique pour apaiser la controverse du Filioque. Un théologien ruthéne du xviiie siècle conseillait aux latins de laisser de côté les questions compliquées de la scolaslique, qui, à son avis, enveniment le différend, et à déclarer simplement que le Saint-1-sprit procède de la substance du Père et du Fils. Les grecs ne pourraient rejeter cette formule sans nier la consubstanlialilé divine. Disserlalio dogmatica de processione Spiritus Sancli in sensu catholicx Ecclesiæ, Leipzig, 1787. Un savant bollandiste est d’avis que les grecs ne rejettent pas la croyance dogmatique du Filioque, mais qu’ils donnent aux mots principe, cause, auteur, un sens plus déterminé, plus restreint. Pour eux, le Père est le seul principe du Saint-Esprit, en ce sens cependant qu’il est le principe primitif, le princijje sans principe. la source de la divinité : » Toute la contestation du Filioque semble donc se réduire à une dis|uite de mots. Les russes appellent seulenu-nt cause la source iirimordiale de la divinité. Les latins ne refusent pas de reconnaître cette origo principalis, cette source première, ils l’établissen. t même dans toutes leurs théologies, mais quand ils parlent du principe du Saint-Esjjrit, ils parlent du principe de production qui est l’essence divine dans le Père et dans le Fils, et de la faculté qu’ils ont de produire l’Esprit-Saint. » Essai de la conciliation sur le dogme de la procession du Saint-Esprit, Paris, 1857, p. 345.

La pratique de l’Église romaine semble confirmer cette opinion. I-Ille demande simplement aux orthodoxes de reconnaître que le I-"ils participe avec le Père à la))rocession du Saint-Iisprit, mais en tenant compte de la différencc de terminologie entre grecs et -20

latins, elle leur permet de réciter le symbole sans l’addition du Filioque. Dans la bulle Elsi pasloralis du 26 mai 1742, Benoît XIV déclare que les grecs, elsi teneantur cicdcrc cliam a Filio Spirilum Sanclum procedere, non lamen tenentur in sijmbolo pronunciare. Voir de Meester, Éludes sur la théologie ortliodoxe, Maredsous, 1911, p. 41, 42. Cette tolérance n’implique pas la négation de la procession du Saint-Esprit du Fils ; elle n’est qu’un acte de sagesse, de prévoyance et de charité pour hâter la paix et le rétablissement de l’unité ecclésiastique dans le monde chrétien.

I. Bibliographie historique.

Pfaff, Hisioria siiccincla controuersiie de processione Spiritiis Sancli a Paire Filioque, Tubingue, 1749 ; Walch, Hisioria conlroversiæ greeconim latinorumqiie de processione Spiriliis Sancli, léna, 1751 ; Prokopovitch, Hisioria de orlu et progressa conlroversiæ greecos inler et lalinos de processione Spiriliis Sancli, dans Tractalus de processione Spiriliis Sancli, Gotha, 1777, p. 1128 ; EugèneBoulgaris a donné une traduction grecque de ce travail, qui a été insérée par Élie Tantalides dans na-iuTt/, ; £).£III.., Constantinople, 1850, t. ii, p. 63-172 ; Aniaduzzi, Préface à l’édition des œuvres complètes de Démétrius Pépanos, Opéra, Rome, 1781, t. r, p. v-xliii ; Werner, Geschichle der apologetisclien und polemischen Lileratur der christlichen Théologie, Schaffhouse, 1864, t. iii, p. 1-82 ;

DémétraCOpOUloS, ’Oç.9< ; Sr, ; oi ; ’E).), ’) ; /j-n t.io t.ïv’KaXv/uv tSv

ifaiàvTi.iv ïKTà.’ikti/uv, Leipzig, 1872 ; Ehiiiard, dans Krumbacher, Geschichle der bijzanlinischen Lileratur, Jluiiich, 1897, p. 73-122.

II. Auteurs grecs qui ont comb.ttu le Filioque. —

1° /.ïe siècle. PhotiuS, Ai/, , ; r.lf. t ? ;  ; toî ivfoj nvEJji » .To ;

[iuaTayuYiK ;  ; c’cst l’arsenal de la polémique grecque contre les latins ; cet ouvrage a été édité en grec par le cardinal Hergenrôther, Liber de Spiritus Sancli mijslagogia nolis variis illuslratus ac Iheologicæ crisi snbjectus, Ratisbonne, 1857, p. 3-110 ; P. G., t. en, col. 280-392 (en grec et en latin) ; l’éditeur y a ajouté une réfutation très érudite, in Pholii librum de Spirilus Sancli myslagogia animadversiones hisloricæ el Iheologicve ad operis illuslralionem refulalionemque perlinenles, op. cit., p. 123-337 ; P. G., t. en, col. 399542 ; Photius a traité aussi de la procession du Saint-Esprit dans les écrits suivanls : Epistola encijclica ad arcliiepiscopales Ihronos per Orienlem oblinenles, 8-23, P. G., t. cir,

col. 725-732 ; ’E^kito’), /, T.^h ; t), v Av.Ar.l’/.i ii.rjoo-rvkr, ;, daiis Ya letta, ’Ekitto), ’I. ; *c..t ; V>j, Londres, 1864, p. 181-200 ; l’éditeur cite les diverses éditions de cette lettre, p. 181-182 ; Conlra veteris Romæ asseclas libellas oslendens Spirilum Sanclum ex solo Paire procedere, non vero etiam ex Filio, Hergenrôther, Pliolii Mijslagogia, p. 113-120 ; P. G., t. en, col. 392398 ; ce petit résumé de la Myslagogie est attribué à Photius, mais il ne lui appartient pas ; Nicétas de Byzance, Capila syllogislica… conlra eos, qui impie ac sacrilège in diuino sgmbolo orlliodoxx clirislianorum fidei addunt et dicunt et sentiunt de sanctissimo et vivifico divino Spiritu : El in Spirilum Sanclum Dominum vivificantem, qui ex Paire et Filio procéda, el non : ex Paire solo, dans Êustratios Argentis,

BlSXi’ov X(/.), oû|itvov’PKvt : tr ; jio3 (rtf.V.iTuir. ;, Lcipzig, 1758, p. 230 248 ; en grec et en latin, par Hergenrôther, Monumenla grseca ad Photium efusque historiam perlinenlia, Ratisbonne, 1869, p. 84-138 ; voir Hergenrôther, Pholius, Patriarch von Conslantinopel, Ratisbonne, 1869, t. iii, p. 154-170 ; Palmieri, Le divergenze dommaliche Ira le due Chiese di Oriente e di Occidenle, dans Bessarione, 3= série, 1910, t. viii, p. 1-12. 2° x’^-xiie siècle. — Sisinnios, patriarche de Constantinople

(995-998), ’K'^xjxXio ; ETUt<rTo)./ ; -çoç Toj ; T ? ;  ; ’.Vvkto)./ ;  ; àû/_i£ç « Tf/o j ; Spdvouç, xîf ! T/j ; Èzz’jfrjffîu ; toj àyiou n/£J|i’/.T05, COd. mOSq., CCL fol. 266-270 ; voir Vladimir, Sistemalilebeskoe opisanie rukopisei mosI<ovskoi sinodalnoi biblioteki, Moscou, 1894, t. i, p. 339 ; cette lettre est V Epistola encyclica de Photius ; Sisinnios n’a fait que la signer de son nom ; Nicétas Pectoratus,

Kmà. « zi-m-i II l’ii’^lunor^’innu eΠ; thnti^j.OL xô ! J. ; iit, COd. Vat.grXC.,

680, fol. 407 ; Michel Psellos, Hpoî tôv aOTonjàTof/ MiI. « ; iX yiziU^a ^lol’j-iix’j. VvSt/r^, dans Dosithée, To^o ; ’A-ciit » ) ;, Jassy, 1698, p. 490 493 ; Jean PhOUrnes, ’AvTippriTixii àito).o/ia irjôç to "/.syeÉvta zapàT’^j

MESto>.à- ; ojv uepî T » i ; to3 â/inu n- ; Elno ! Toç Exitop : JiEuç.dans Demetracopoulos, ’ExxXïiiTiaTT.xi, p16A.o6/, xri, Leipzig, 1866, t. i, p. 36-47 ; Evsrate de Nicée, Aop5 xp^ ? toOî y.i-[o-na.i ôti Ix toS natpôî x » . ;

EX Toj Viou Tb rivEyjjia xo a-^tov ExzopEyExat, Maxa(Tx£itâî^iij.rf c.’xt ex x^/S

^ Haxpô ; di « xûîî V’oîî, o’j/ï Se xaî lit xovî T’oy xo IlvEu^jia xo « ytov

èxropEJxai, 16ld., p. 47-84 ; Id., "Exee » 15X^ ;  ; Y : Yovj ; a ; S : xiUai -fô ;

xôv ip/_ti ::t’iTxorov y[t^ : f, ’/.fj..jt.yj rept xî ;  ; X’^v 7 : « v « Y*’^y rivEijjiaxo ; Êxîr^prJlEw ; , ibid., p. 84-99 ; Id., ’.Vvxîppr.Ti ; xax4 x.tv rpoViE/OÉ/xtr/ xôi

Uii : ’, '/.’i.n ; v, cod. mosq., 238, fol. 52-58 ; cf. Vladimir, op. cit.,

p. 311 ; Id., A.ivo ; à/x : pp/, xiz ;, ; rp ;, ; x » . -l’.'j.-.i.-.t, . T.-jM x’, î x.T.v MtS.., .

U.n.y„ cod. mosq., 240, 250, fol. 153-l’67, 132-138 ; cf. Vladimir, p. 317, 338 ; Théodore Couropalate, Aoyoç rEpî x.r, ,

à^j ; xtijv’/ « ï TtEpî xîi ;).£yo ; AÉvy, ; -n’/pô.’Pt.i ; jL’/ ! ot ; x’, j FIve j ; jl « xo ; ex xoTÏ Tiov ÈxiToptJTîu ;, cod. mosç., 239, fol. 40-48 ; voir aussi corf., 240, 250 ; cf. Vladimir, op. cit., p. 311, 316, 341 ; Xicétas Seides, A. ; -, , ;

rpô ; ’ri’iiJtati jç, ÔTi Èz X’.j Ilaxpô ;  ; xoyOj, oj/l ^i y’/' Ê-/ xoj Tto^, « i ; o.JT’, ; ’l.i-i’ijnvi, È/-of£JcX’y.i xo’/y^o/ 0, : ^ ; » -/, Corf. mOSq.. 240, fol.

204-221 ; aussi cod. 250 ; cf. Vladimir, op. f17., p. 317, 338 ;

Id., npùç AkxÎvo’jç zeçÎ y^’^^’^^^’î "^^^’A5 « ix, xï ; ç Hy^r » x’jij Ef^.O, -/a : zêpi xotî x5(t’£txù-/a xkÎ -/ « 6’o ; jiot’wvtv, T^xot TTEpî x^ ; « Yt’a ; TpiâSo ; -/o. ;

-îpixr ;  ; Èzropîioiu ; xoj’î-.^oy n ; iJ ; M’.o :, cod. Burocc., 131, fol. 382 ; cl. Coxe, Calalogi codicum manuscriplorum bibliothecx bodleianæ, Oxford, 1853, col. 228 ; Michel Glykas, Er.oxo/.,

M « ^iV Tôî Sj£svtojx-r, , oxt Ix [AÔvoy xoj Tlttxpô ;, o’S [xi ; xa*. ex xoîî rîo3 xô ïlvEtfjjiK xô &Ytov lxi : opEJEX « t, xw. oxt oj xaOxo àTTocxoAïi xaî ExrôpE’jffi :,

cod. nanian., cxi, fol. 89 ; cf. Grseci codices manuscripti apud Nanios asservali, "Bologne, 1784, p. 218 ; Théodore Prodrome, riEpî x ;  ;  ; xoî âyîoj nvEJjiax-, ; £/ropiO » £w ;  ; cf. Papadimitriu, Tlieodor Prodrom, Odessa, 1905, p. 267 ; Basile d’Achrida,

A : à>.£-t ; [JL£XÔ. x-.vo ; AkxÎvoj zc.pô. xoj’P'.’.ar, ;  ::£ ; i=D£vto : TTpô ; xov fJo.Ç’./.iK

Mo./ojr, "/, xôv zop=jpoY£vv/, xov ; cf. Sclimidt, Des Basilius aus Achrida Erzbischofs von Thessalonich, bislier unedierte Dialoge ; ein Beilrag zurGescliichte des griechischen Schismas, yiunich, 1901 ; Nicolas Mouzalon, patriarche de Constantinople, riEpî xi ;  ; èztiop £ j<7£i, i ; xo3 !, .- ; Wj nv£J ; j.Kxo. :, cod. mosq., 239, fol. 102-104 ; cf. Vladimir, op. cit., 1. 1, p. 313 ; Nicolas de Méthone, ripô ; xôv hIy « v

O0 ; A£(rC’.Z0V £pWX/, (TavX « X£pl XOJ Ô.Yl’oJ IlvEJlAWXO ; £i : i^ï ; Xr ; aat Xat È-yOtXÏ^ITKt

xoî ; àroTxd/.oi :, dans DemetraCOpOUloS, ’Ezz).ï ; l : C((rxtxr, PiS).n, 6r, x) ;, t. I, p. 199-218 ; Id., K£j « I. » .i..’, 5£. ; D.ey/o : rapi Aaxwot ; xaivo=K-/oj ; d()Y ; x « xo ;, xoj oxi xô TTvEjjia xô aytov Iz xo3 Ilaxpôç xft*. xoy Ttou lz ::opEJExai, ibid., p. 359-380 ; Id., IIpô ; xoù ; Aaxîvou ; TTEpi xoj ôi-j’f.j nvê’Jiicxo ; oxî Èz X0Î3 rio.Tpô ; o’j ; ji>, v x « i Èz xoy Yioy IzropEÛExat, édit.

Constantin Simonides, ’OçOoSoiuv’E/./, 7,./uv 6£o/.oYixai Ypo ; = « î xéit-TKfEç, Londres, 1858, p. 1-39 ; Andronic Camatéros, ûik/.eîiî

XOJ Ô£o5Ô^o’j lAEyàXoy ^KO[/.£’(.) ; x « -. X’ov x/ ;  ; rpET^Jxfpa ; *Pi.> ; ay, ^ iroswxâxwv ZKpoiva/.îwv ::êpt xr| ; xoy T : « vaYÎoj Hve jaaxo ; Èz ; xôvo"j xotî Ilaipô ; Èxzo"

p£J(T£u :, cod. monach., 229, fol. 7 ; cf. Hardt, Catalogus codicum manuscriplorum bibliolhecæ regiæ Bavaricte, Munich, 1806,

t. ii, p. 491 ; Id., npoTSioV.KI. ; » . îTOÔ ; xoù ; Èz xoï n’/.TÇÔ ; zo. ! xoj l’îoj

xô T. !, . ; à- ;  : r, ., nv£j ; j’/ £zi ! op£ laOoj, ibid., fol. 27 ; cf. Hardt, p. 492 ; Dimitrios Tornikios, nsp’. -> ; ÈzT : op£ i^îoi ; x-, j iy-o ^ n(£J ; j.o.To ;, cod. paris, 2830, n. 15 ; cf. Codices manuscripti bibliolhecae regiæ, 1740, t. II, p. 558 ; voir Hergenrôther, P/io<ius, t. iii, p. 730843 ; Will, Acla et scripla quse de conlroversiis Ecclesise græcæ el latinæ sæculo undecimo composila exslant, Leipzig, 1861 ; Palmieri, Le divergenze dommaliche, etc., epoca di Michèle Cerulario, dans Bessarione, 3° série, 1911, t. viii, p. 161178 ; Bréhier, Le schisme oriental du a ;e siècle, Paris, 1899. 3°.Y/ ; /e siècle. — Nicolas d’Otrante, j : jvo ; -i ; ujv Qia èz xSv x « xi

").Ô.XOÇ OOYlAKXt^OÉvXWV TTEpl XïjÇ XOÎÎ « YtOU IIvElJJXCtXO ; ÈZTtopEÛfflu ;, XwV Êx

xùlv ŒÎwv xo.t itoZ’j Tpasôiv xaî rapà "zZ-j àvtw.y xa : ÔEOôpwv TTaxÉpuv

SoYiiaTirrO/vxDv, dans Arsène (évêque). Tri zapisi o sobesiedovaniiakh Grekov s Latinianami, Nijny-Novgorod, 1896, p. 7-23 ; Nicétas de Maronée, n£p ; x ;  ;  ; Èyrop£ J ! r£i. ; xoj ivi’oj iIveO ; eoito ;, p. g., t. cx.xxix, col. 165-221 ; le cardinal Hergenrôther n’a publié que des fragments des six dialogues dont l’ouvrage entier se compose ; celui-ci se trouve dans le cod. Val. græc., 1115 ; voir, sur l’auteur. Petit, Les évêques de Thessalonique, dans les Échos d’Orient, 1901, t. v, p. 28, note 46 ; Nicétas Choniates, Or.Tttjpô ; xs ;  ; ioeoSo ;.’» . ;  ; le 1. XXI traite de la procession du Saint-Esprit, mais il n’a pas été inséré dans la P. G. ; on le trouve dans le cod. Laur., 24, plut, IX, Bandini, Catalogus codicum græcorum bibliolhecæ laurenlianæ, Florence, 1768, t. ii, p. 431 ; Maxime de Constantinople (1215), "ExŒti ; x ? ;  ; op6080 ; oj rioTEu ; ZEp’i xS ;  ; èzzooeJ(TEw ; xo3 iy.’oJ nv£J ; Aaxo ; xoxô. A kti’vojv, COd. par., 1324, CotaZogiiS

codicum bibliolhecæ regiæ, t. ii, p. 289, n. 15 ; Germain II de

Constantinople (1222-1240), ’A7 : àvxr, » i ; zpô ; xr.v ï|io).oYiav xi ;  ; r.lis-XEUî xo3 râita rpïjYopîou i : pô ; xoù ; uic’IxEr/ou ffxaXÉvxaç 4>pE[xEvoJpîou ; xaî îtoiTo’j ; icEpî x^ ; ÈxropEÛaEu ; XOJ aYt’o’j rivEJiJiaxoç, dans Xpovtxôv

TEiopYi’oj pa/x.Ci ; … Èrvu.£A£iot KapoXoj "aî.xeo. Vienne, 1796, p. 140-149 ; Théodore Lascaris, .Voyo ; 41 : o).oYr, x : xi> ; npô ; xôv èt :  ; ffxoiîov Kopt’JvY, ; ’Iwâvvï ; -^ xaxà xtov’Ixa).wv, /(yojv xaxà x.ùv Aaxtvw/^

z£pî xo-j ITvEÙivaxo ; xo3 iy » - dans Swete, Theodori Lascaris oratio apologelica de processione Spirilus Sancli, Londres, 1875 ; Georges Acropolite, Aoyoi ^spî xf ;  ; èz^opej^eu ; xoj à.yioj rivEJuaxo ; T.foi xoù ; AKxivoj ;, dans Demctracopoulos, ’ExxAT-.ffia » xixii piê)iio9r, xr., 1. 1, p. 395-418 ; le second, dans le cod. mosq., 240, fol. 197-204 ; Vladimir, op. cit., p. 317 ; Mathieu Ange-22

los PanarétOS, ôoiiâ An-tîvoj eiXoioiOJ, T.Uil-’toïç Setoiç 7.r, zTîOv

& =", iTrv lxrie.., tv T.îi àrCo. nvE-v^oî- 4vT ; ee<r. ;, cod. non. cxxx,

fol. 1-7 ; ’AzoSe. ;. ? eî ? Sff « Tiîr.Touïiv SÇ àvàyOT. ; oî AktTv^ ta axor. » .

iEvovT.’t ! > nvEiJn « T-0 Kr>ov x « î tx Toîi rîos Ucoç=.J=.ae « ., lOia-, fol. 46-52 ; ’P/.^e.î Yçi ?tx=cu…t, àvaTçozv ! ’!.7’.^-r^^ l"

.ov « .3 Bixxo., . :.. « ..v S= xo= Oj903 S. ; vH-- » ^. "’"'i" fol-.<55-115

(recueil de textes des Pères contre Vekkos), Codices naniani, Bologne, 1784, p. 299-305 ; Hiérothée (hiéromoine),

UîTôv vîôv ci^KOxuçT.ti nve :  ;. « To., cod. Morc, 153 ; Id., Oi.a.a.

xati A » .x ; vL., v, S.a7,.y.- « v çijr.^ » . xôv 7.a5a « > ; îa, ivT.’Jho’. ; ix’-.’^TÔv

. :, Ao.xîv « . ; Tov Nr, =c.vc<, cod. laurent, 19, piut vii, Bandmi, t’II. p. 262 ; Grégoire de Cliypre, ’E/61T. ; to3 -riiiou xf ;  ; T : ((rr£wç , „à xo5 Béx, .., p. G., t. cxLii, col. 233-246 ; Id., n.oï x, è, .oç.i, c « , x » a i-, ; o. nvsOs.axo :, f6.d., col. 269-300 ; Geç^gesPa Chymère, Ilsfî x^ç Èx ::opiJ<T£u ; xo3 i/iou n.-£J ; i. « xo ; -fi ; xoj ; /.s^ovxc : , ixc « ci xoîxo ÂÉÏtXK. n-, l51. « VUî, S.i x>, J ; t.o : ^ :.v, J, 6, i. xi.

929 ; cet opuscule est regardé par Allatius comme favorable aux latins ; Gennade de Bulgarie, eO-xç-y ;  ! » . Ix « . »

é « ; à’« xç£., v, « ;, ax « S « Uovx>, v >.ax..xV, v Soïav. COd baroc, 10,

fol 26-66, Coxe, op. cit., t. i, col. 16 ; Manuel Moschopulos, a.à).. ;, , r.^>., Aax.’v<.. ;, cod. fcaroc, 68, n. 32, fol. 94-98, Coxe, t. I, col. 105.

4 » /v » siècle. — Nicéphore Chhoumnos, ’EîTixavio ; s. ; xov

ajaviuv r£-, 7, ;, « l x « I. « xtv.x.î rij ! xf ;  ; x.3 ^ « a-.-îoj n.-r. ; « .xoç rxr.o Vr ; « >.- SiYiilcxo, , dans Boissonade, Anccdola greeca. Pans, 1833, ’t. V, p. 183-239 ; Id., ; <, .yiji, xot ; Sivi^^x, ; x.^v A » .x^u … ; xrc-.ro….a., ; xo5 i-, :.. nve :  ;..xo :, COd. par. 2105, n. 16,

C’ataiogus codicum bibliolhccæ regiæ, t. ii, p. 445 ; Maxune

PlanudeS, n^fï -.% ; J’/zoScO^a. ? xcî’/.-Io-j nvE :  ; i » .xo ; -/axi. « x ; -.wv,

P. G., t. CLXi, col. 309-317 ; Adyo ; xf ; ? zî^xa.. ;, cod. viiidob., 269 Lambecius, Commentaria de bibliotheca cœsarea vindobonensi. Vienne, 1778, t. v, col. 446 ; Mathieu Blastares, U, o Tf, ^/zo’.i. : 7E„. ; xo-J i-.-vj nv£ :  ; j. » .xo. :, édité par Arsène (évêque), Moscou, 1891 ; voir Vizantiisky Vremennik, 1903, t. x, p. 685-687 ; Barlaam de Calabre, nî ? ; x ? ;  ; iy.T.o^ijai^, i -oZ ù-iWj nvtin’yxo ; (vingt brochurcs inédites : on en trouve les titres dans Démétracopoulos, O’/i’MW, ’£/./, </ ;, p. 73-75), cod. mosq., 251, fol. 254-416, Vladimir, op. cit., p. 344, 345 ; cod. Val. griec, 1106, 1110 ; Michel Brycnnios, n^-A xj ;  ; l-^r.o^tJcti :, ; xo-J àvîv. n-fincx’. ;, cod. paris., 1267, n. 19, Calalogiis codicum bibli’olhecm regiæ, t. ii, p. 269 ; Nil Cabasilas, A< ; -fo. T.im rEfî

xi ;  ; ixT.r.^iJ’Hpi X’, 3 ir « a nvrjjiaxo ;, COd. mOSÎ-, 252, fol. 104 146, Vladimir, op. c17., p. 346 ; Aclyoi A’/xî/ix, l ; ô- oW/xai Ssix , :, Ki, x^ II, iJ : iOi xo àviov Yo’i Ix X’-'J rlo3 èxrrof ïui ; iïvo-/, COd. Vitldob.,

260, Lambecius, op. cit., t. v, n. 5, col. 378, 379 ; Id., A>

o, ; x.5v.i : jox4.’Tiu.-/ x5v A^xî-, ., .-, , il Sv quviYsiv « , Vr>., x » .i xî, n-zEpa xo £., .ov oix l> X.3 r ; « Jx ::of.itoO « ., iftW., col. 379, 380 ; Dcmctracopoulos, op. cil., p. 78-80 ; Grégoire Palamas, E !  ; x « ;

i : » pi xo> DÉxxoj j-èo Aax.V.v ix’/T ; ^ jV.Xr.’îÎT’/r ; -cf’ajxoî vfa..x.r, , fV,, ., ..v 4vx£. ; vj « -. « ;, P. G., t. CLXi, col. 244-309 ; Id., Àdro. à^-, Σ.xx.x-I. « io, Constantinople, iG27, ’Lcii, Tand, Bibliographie hellénique du.wii’siècle, t. I, p. 237 ; Id., Oxi AaxT/o ;

i- ; » <tti x « ; U r’.oï x ! > n., 13na, oJx ï/z/Uiri S> « =ii-^cr./ xoù ; lY, a), o3vTK ; « iUùt, 5X1 xo3 Sv% ; n./il ; x « xo ; SOo isfo-jinv 4f/>î, xaî oxi xoùî Oso-V, o-.ixoJ ;.Tv"/.), ’, 'i(T.i.oJ ; àr’, 511xx[X’, i ; jiS./.V.’)-/ StT x » ./.îr/, J, Si’/./.£xxixoJ ;,

cod. coisl. C., Montfaucon, Bibliolheca coisliniana, Paris, 1715, p. 171 ; Papamikhaïl, ’()’/..’. ; rjr/.’ifo ; n » ."I. » . ;  !  ;. ;, Alexandrie, 1911, p. 182-184 ; Arsène Studite, M^fx.}. » .. -îf’i xj ;  ; i » r-, }ii.7c.i ; x’, 3 iv’-'.’Tl/riinax’, ;, cod. paris. 12.38, n. 1, Calalogus codicum biblioùiecee regiæ, t. ii, p. 266 ; Id, E/iM » . 4, xiffr, x.xi

Ti ? ; xi ;  ; E/T : opi.7t., ; X’-3 à-.- : ’-. Il.sVii’/xo ;, fod. poriS., 1303, H. 3,

ibid., p. 281 ; Nicolas Cabasilas, ei’//’, ; -I. ri'/i x> ;  ; i- ; i’y :, Tptiîo ;, cod Dindob., 232, n. 4, Lambecius, op. cit., t. v, col. 141 ; Théophane de Nicée, Kax->. Aïx. :,, .., , cod. baroc, 193, n. 3, 4, Coxe, op. cit., col. 328, 329 ; Démétrius Chrysoloras, ^, à. > ; > ; ’/va ! 51xix>, ; x-, 3 U-.-yJ î’i’r ?’?' ^’. ;.t' ! ’K-jS..V/r, ; xoix-). x<, 3

.MexBf.oj Ht7ï’//.o. ; xr, ; x. Niîavj x-, 3 Ki, . ?i » .>.i, cod. laurenl., 12, pfu<. V, Bandini, op. cit., t. ii, p. 32 ; Id., Aiyo ; T>v « xtx^ ; 4=’a< l :  ; oiri » ., ; J-fio ; Ni^’, ; 4f /.tr ; « ’, T : -, ; OsiTaV v/îxr, ;, ’, : y « - x-> ;), i » r. ; xii’i xi ; x.Iv lva-/x :.jv i/, rx4.ii’. ; » -/, i x-, '> ; ivVV.’.v.’J ; » ’- :, ; « ix^r ; t/V. ; i « 71-,

ixoJ.ixvO, i,, .vxiji. ;., cod. mos^., 243, fol. 95-112, Vladimir, op. cif.p. 323.

b* XV’siècle. — Nil Damylas, ’r, T. : iT>'i x.-. ilmSsixixv iv XfiiTr, r » Ts.’. » « l 4^c/, s.r, i ; -.. :) xi xo. ! >.-, v.<..x4t.. xjp- ;. M’, '. :, i-, Nijny-Novgorod, 1895 (édit. Arsène, évfique) ; ce traité comprend le* quatre brochures données sous des titres différent » par Démétracopoulos, op. cit., p. 88 ; Macairc Dosithée, d’Ancyrc, Kvx-v S » x ;.., , T- ;  ;  ; ’, ; K « x » /V’/, ’. ;. Jassy » 1692, p. 1-205 ;

voir Palmieri, Dosileo, palriarca greco di Gerusalemme, Florence 1909, p. 49-51 ; Syméon de Thessalonique, Conlra hxreses, 32, P. G., t. clv, col. 157-176 ; Joseph Bryenmos, Oa, ) ; a.’s.i=ofo., Opéra, édit. Boulgai’is, Leipzig, 1768, t. i, p 1-406 ; pour les autres opuscules du même auteur touchant la procession du Saint-Esprit, voir plus haut, t. ii, col. 1160 ; Macaire Makres, njô ; Aax. : voj ;, ôxt xô litu^ xiii èx

xoù rU3 xb nveûixo, x-0 K-.-.ov Jxttoç ï^stre-…, oïxe 4v » .-, -x’/.ro-/ Èffx.v, 4Ua yai-yoxoai’a xi’; dfe, Sd ; oj T.t’, -.i^^i, dans Dosithée, Ti^x-, ; Kax « U « Y5 ;  ;, Jassv 1694, p. 412-420 ; Nicolas Schlengias, niflx ? ;  ; ExroçEOuiw ; X.3 iv.vj nv£ : x=Lxr, :, cod. paris., 1295, n. 35, Calalogus codicum bibliolhecæ regiæ t. ii, p. 279 ; Mathieu (moine), nef ".xi :  ; ix^tof £C(j£.. ; xo3 àY « J nvErxaxo :, cod. pa/is., 1115, n. 6, Co ; aZo9as, etc., p. 218, 219 ; Théodose (moine), nsjl x ? ;  ; l/zo=Eiî£u ; xo3 ^y’» " n., £ : u « . ;, cod. pans. 1303, n. 7, i&id., p. 281 ; Marc d’Éphese,

Eu/, /.’o-.(Tx.xà -/Eïi/.a.avV-ob ; A^x^vov ; -iw. x ? :  ; l-/r'>5r : ^ao ; xo3 4y">-J

n./sOixàxo ;, Zoernikav, op. c17., t. ii, p. 710-741 ; P. G., t. clxi,

col. 11-244 ; Id., SjXî.oyji /.oV-tm-/ YÇa ?’"'" "’'"’'"’""’^ naxçô ; IxxofEÙexa. xo n-^îf. » . xi Ky. « , oùI. ; SI x « î Jx xo3 Vlo3, COd. mos ?.,

240, fol. 76-88, Vladimir, op. cit., p. 316 ; Id., HEfî x ? ;  ; ixpopsu-Ta, . ; xo3 iY’"^ lIvEiixKxo ;, cod. Dindob., 280, Lambeclus, op. ci/., t. V, col. 467, 468 ; Id., Ac-.-rvo ; ô -cfî xi ;  ; év xO <7-. ; -x6< ;).. :.-fo’78r, xr ;, cod. mo ; mc/i., 256, fol. 287-290, Hardt, op. cit., t. iii, p. 85 ; Théodore Agallianos, -Ava^xtoi, xj ;  ;  : - ! ? x ? ;  ; Siîr, ; ’^^"^^"Jf^' xM.p., opo-oyvo’.., dans Dosithée, T, ;  ;.o ; ’Ay4- » -, ;. p. 333-367 ; P. G., t. CLViii, col. 1011-1051 ; Id., yijXUn èx xJv iY’"' ' zfô ; x4 SoY ; « x.xà xpaK.a (xo3 iv"’^ Mct-îpou) ^OaicvK^i’vxoc xkÎ xoT ;

co-ze ; » ; xoï ;, 4U4..S.y.U ; r.^.^’A-, . < « ; oÉ<7e., t :  ; x.c.vo ;, dans Dosithée, TiiLo ; K « xo..U « yî ;  ;, P- 432-439 ; Georges Gémisthe Plethon,

nsfï xr- ; Sx-oçj’lcJJc.. ; xr-3 iY"-’HviiaKxo- :, ïxi Ix ixovou Xû3 naxçô ;

£./- « £ : sx’/., dans Dosithée, T< ;  ; xo ; ’AYà-r, ;, p. 316-320 ; P. G., t. CLX, col. 975-980 ; Gennadius Scholarius, KxŒ^i ; -sçi x^î xo3’/vîoj n-, £0 ; iKxo ;  : rc, <rxà5£.j ; Srili ;, xv’i xo3 49/II. ; oj xtr/i J-iioV.oYiul

  • £., ou xrl ; ’Exxir, » ; -I. ; ççov/, ; a « xo ;, dans Dosithée, T6 ;..oi’AYàîtr. ;,

p. 252-291 ; Id., K « x4 x » :  ; it50<76ï-xr, ; ov £- x.r..Tj ; 151>.u. x ?i ; r.i’uxtu ; rçoTiOr.xa-/ oî A « xTv„, i&ld., p. 291-307 ; Id., n£j ; x>, ; ?x^oj£J, £ « ; xr, 3 i-’iou n-/£Ù.i « xo ; x.ii.x£Yàî…. Ao’Jx., Simonides, op. ci/., p. 5372 ; Id., nfbî’Acx.voJ ;, cod. mos^., 249, fol. 269-274, Vladimir, op. cit., p. 335 ; A^ivoY-^ ; « "xi Akxîvo./ -Efî xi ;  ; èxxojeù^w ; xo3 iYÎ’"' n., £0|. « xo ;, cod. paris., 1218, n. 29, Calalogus, etc., p. 257 ; Michel Apostolis, njoT :  ; i.V<ïi ; ia £’; xôv JairiXÉa Kw/irroc-xrvo./, ii.JiK SE X » . ; J ; io/.oy ; « xi ;  ; « ixoï’Ttî’^XEM ;, £v’^ /.ÉY£i, oxi x !. HvEtiiia xb Sy.ov lx7 : oo£ : £X7.i IxxvJ n » .xpe ;  ;, ci plv oV/ U r.o’J xaxa " Wr"’* ! « 

4I. » , 6£i’» . :, dans Démétracopoulos, ’Eflvixô-/ r, ; j.£f’//.oYio<, Athènes, 1870, p. 355-359 ; Jean Moschos, ’Azàvx » ; i. ; -fô ; xoO ; XÉYovxa ;

ix. Ix X.3 r ; o3 xô nv£3^v : xô av." £xz.O£ ; £xa., cod. CSCOr. y. III,

18, fol. 1-32, Miller, Catalogue des manuscrits grecs de la bibliothèque de l’Escurial, Paris, 1848, p. 290.

6° A » j-.v.ve siècle. — Manuel le Péloponnésien, Ar.^jXo-iio.

y„ 4vaxer)z>, x.-iv x£ : « >. « ; wv xo3 *f aY » ’» -’"'-’ ""’^ xo-yI^kx" ; x>ô-, Kr.pjxuv,

Moscou, 1889 ; P. G., t. cxl, col. 469-481 ; voir aussi Gé déon, i ; ju160I. » . ; e !  ; xr, -/’i-TXopîav xSv HExa-ù x.T, - ; Ex-//.r, ffur, ./ i/iiEuv,

dans Ex.l>r, » t- « x..xh 4AV.e£, « , 1889, t. ix, p. 236-240 ; Id., E !  ; S60

j.X).o-.^vioO ;), ax.-/ixv :. ; 47t’, S£.xv : vx « ; x » .". Èx x. ; 3 r ; o3 x), H’-ESua, COd.

mos ?’., 243, fol. 79-82, Vladimir, op. cit., p. 323 ; Pachomios Rousanos, ITso ; Akxîvoj ;, cod. nan., 125, fol. 140-142 ; Id., ’A^o-Voy ; « S.a/Exx.xi- -fô ; Aax, - !, . ;, ibid., fol. 142-145, Grœci codices apud Sanios’asservali, p. 259 ; Théophane Éléavourkos No taras, A, « ;.E » -. ; IXEX* ^/a/.V/.^ :..^-’hoVoY.X.r.v -. « x.I. -r, -, « EOrorpà^OXOV

i.x. ;  ; - « £., ^->= ; » ., xi ;  ; rÎTx.u ;. cod. mos< ?., 244, fol. 13-29, Vladimir, op. ci/., p. 325 ; Georges Calyvas, Efuxo.xr.xpI^Ei ;, I, nif’. XÀ- ; lx7 : o ?Ei » £… ; xo3 « y-V." IIveO^a’/x. ;, cod. liindoft., 289, fol. 17, Lambecius, t. v, col. 497 ; Léonce (moine), Qiiid de Spiritus Sancli processione græci quidam hodie sentiunl, Francfort, 1591 ; Mèléce Pighas, Of’)< ; 5- ;  ;., ; xo.Tx. » … ;  ; St4).vfoi, Vilna, 1596, Legrand, Bibliographie grecque du w’cl du.isiècle, t. II, p. 115-119 ; Id., A^Y" ; ’=< ?’->= ^’i ï""’*. >’. « ’. ? xatioX.x » , Exxir.^la, dans Dosithée, Td^io ; y. « fS ;, p. 553-609 ; Gabriel

Sévère, "ExŒiti ; x « x4 1 : ~>’i 4 ; jl «  « râ ; >.£Y’; -’XW/, xa’i lî’/po-oau ; Si’înïxovxii /, 5x1 *n£r ; o’ix » ;  ; 4--axo).ix9 ;  ; ’ExxXyitÎO !  ; Y’/, » " » xa’i ipOoSoEot ratSE ; i, ix ; -, , , r « .x.xo. - « p-I. xr ;  ; i-ï ! ’/ ; xolxoea-, . -ExxXr, , ; » ;, Constantl nople, 1627, Legrand, Bibliographie hellénique du vtvi’siècle, t. l, p. 242 ; Margounios, IlEp ! > :, Èx-opiOisM ; x’, 3 àY"." nvtinaxo ;, cod. hierosol, 216, fol. 1-126, 200-248 ; voir Papadopoulo, Kéramevs, l£po, ’, r. ;..x. » r, ?, 6X<r/), :, /r, , Saint-Pétersbourg, 1891,

t I, p. 296, 297 ; Id., M.ei. ; » Sio rfp ! xi ;  ; x., 3 T : a/ « Y>-’nviJ|i(>xo ;

îxropii » … ;, cod. mos< ?, 244, fol. 29-84, Vladimir, op. cit., p. 325 ; Nalhanæl Chykas(7), Kiia^a x » .x* Aaxîvu/, nÈ li.

Iz-iXa UiMojm -i’j.-’, itib^iii n-ô ; xb Ilvtîix » xb Ky’ov Uitopiicxiii , « ; fx x’, 3 r ; o3 « ai itpb ; xB3xa yjeci ; xSy TpaixSv, ut x » ; ônoîct ;

4va, p., 3,. xi !. » « o ! A « , „., >).iT". T. V, cod. 711cro.s. nif/ochii (Constantinople), 94, fol. 1-47 ; voir Papadopoulo-Kéramevs,

823

ESPRIT-SAINT

824’ls}070/, uniTixr, piC"/.io6v/r, , Saint-Pétersbourg, 18 ;)2, t. iv, p. 97 ; Georgius Crisanius, Bibliolhcca schismaticoruin iiniuersa onines schismaliioriim lihros liacteniis inipressos, duobus tomis comprcheiuleits : prirniini qiiidem a diwdccini aiicloribas tribus liiigtiis, græce (iiitiqiic, qra’ce moderne et moscovilice coinpoxita et in pltiribua codicibus impressa, nunc aiitem Verbatim reddila et confiitala, Rome, 1656, cod. 1597, Bibliolh. Casan. ; on y trouve les ouvrages suivants traduits en latin : Maxime le Grec, Uralio contra latinos quod non liceal apponere, sive an/erre quidqnam in divino fidei symbolo, loi. 53-133 ; jMcletios, patriarche d’Alexandrie, Dcmonslratio ex theoloaicis scripturis et ex iiniversalibus doctoribiis, quod Spiritus Sanctus ex solo Paire procédât, et non etiam ex Filio, proul nonnulli a sua superbia decepti comminiscuntar, fol. 153-216 ; Maxime Margunius, Enchiridium de processione Spiritus Sancli in forma epistolir, fol. 217-224 ; Id., Colloquium de processione Spiritus Sancli, sive orihodoxus et lalinus, fol. 225-318 ; Coresios, Colloquium cum quodam fratre de processione Spiritus Sancli, fol. 415-161 ; Gabriel Sévère, Exposilio adversus illos qui impcrite asserunt et perverse docent quod nos orienlalis Ecclesiæ genus et orlliodoxi filii simus scliismalici, seu séparait a sancta universcdi iScc/csio, fol. 570-669 ; si nous ne nous trompons pas, l’auteur de ce recueil est le célèbre missionnaire serbo-croate du xvii’siècle, Georges Krijanitch ; Maxime le Péloponncsien, ’Ey/E-.jiSiov x » .t'>. toj (i/(t|< « t !. ; t ;.v TianiuTioï, Bucharest, 1690 ; Coressios.’Ei-yafiSiov îteçI t ? ;  ; txro f£’j<r£<, ) ; tr/J iyioj nv= ;  ; i’/.To ;, dans Doslthée, T( ;  ; i.o ; KaTaUcyr ;  ;,

Jassy, 1694, p. 296-412 ; Id., Ative ;. ; yiETà tivo ; tSv <]>fàfu.v, Constantinople, 1627, Legrand, op. cit., t. i, p. 241 ; Id.,

ûti/.’/voi T.if tiB Travarioj xai’Ci.ivigyty.’j’j n-/£Ù|i.aTo ;, COd. IlierOSOl,

450, fol. 2-82 ; Papadopoulo - Kéramevs, ’lifoic/, . pii’u’Af^yr, , t. I, p. 429 ; Dosilhée de Jérusalem, Tt ;  ; i.o ; K « Ta"/."/.Krf ;  ;, Jassy, 1692, p. 439-441 ; Id., To^o ?’Ayi-r, ;, Jassy, 1698, p. 316320, 378-387 ; Id., ï< ;  ; i7c ;.vTc..v, Bucharest, 1715, p. 478 497, 755-775 ; Christophore Emborokomites, ’e-./elçJô’.o., rcoî T/ ;  ; ’f/.T.rjoiJmm ; To3 âvîo-j nv£J ; i » .Ts ;, Bucharest, 1728 ; Constantin de Moscou, Œj-. t ;  ;  ; ly.T.oopaii, -, toS i.-i’i'.j llvi j ; jLr/.To ;, etc, Moscou, 1746 ; Tantalides, Uar.-.nTix’À ilir/o :, Constantinople, 1850, 1. 1, p. 174-297 ; î’/ie Filioque and ilie American Clmrch, dans The orlhodox catliolic review, Londres, 1867, t. i, p. 246-252 ; The procession of llie Holy Ghosl, ibid., 1876, t. iv, p. 264270 ; LamprylIos, La mystification fatale ou élucidalion d’une page d’histoire ecclésiastique, Atliènes, 1883 ; Clirysostome (protosyncelle), Uio’i’E-M.r.uic^, Athènes, 1896, t. ii, p. 301400 ; Boulgaris, 0£oI. !, -, ’.r< ; v, Venise, 1872, p. 281-319 ; Rhosi,

Sjo-rr, ;). » . S(, r ; j.aTix/ ;  ; Tr ;  ; i’JloioX’jj y.'Al>r, ’l.iy.y, -.’E/z/.r.aîv. :, Athènes,

1903, t. I, p. 253-287 ; Androûtsos, iov ; i » Tr/r. t> ;  ; djOoSiioj àvaTo’/.ixî ;  ; ’Exxat.tÎ’I. :, Athencs, 1907, p. 79-86 ; Id., Ao/înio/ <ju ; 150/, .xr ;  ; U £T : ( ; i£u, ; rlpOoSpou, Athènes, 1901, p. 127-134 ; Mesoloras, liji.Wi.iy.i, xf ;  ; àfe^Spoi. ecvaxovr/ ? ;  ; ’Lv/-/), riT ; ’/ :, ’Athènes, 1901, p. 113-129. Pour une bibliographie plus complète, voir Démétracopoulos, Ehrhard ; Meyer, Die theologische Literatur der griechisclien Kirclie im sechzehlen Jahrhundert, Leipzig, 1899, et les ouvrages cités dans Paknieri, Theologia dogmatica orthodoxa, t. i, p. 765, note 1.

III. Ouvrages russes.

Pour l’ancienne polémique russe touchant le Filioque, voir Popov, Aperçu historique et littéraire sur les écrits polémiques des anciens russes contre les latins, Moscou, 1875 ; Pavlov, Essais critiques sur l’histoire de la très ancienne polémique gréco-russe contre les latins, Saint-Pétersbourg, 1878 ; Pamiatniki polemitcheskoi literaturij v zapadnoi Rusi (Monuments de la littérature polémique dans la Russie occidentale), dans Russkaia istorilcheskaia biblioteca, Saint-Pétersbourg, 1878, t. iv ; 1882, t. VII ; 1903, t. XIX ; Barlaam Jasinsky, La vraie et ancienne foi de la sainte Église orientale touclianl la procession du Saint-Esprit (inédit), voir Theologia dogmalica orthodoxa, t. I, p. 793-7&4 ; Lazar Baranovitch, La nouvelle mesure de l’ancienne foi pour mesurer la procession du Saint-Esprit, Novgorod en Lithuaiiie, 1676 ; Jean Galatovsky, L’ancienne Église orientale qui montre à l’Église romaine comment le Saint-Esprit procède du Père seul, non pas du Fils, ibid., 1678 ; Adam Zoernikav, ’Tractatus theologici ortliodoxi de processione Spiritus Sancli a solo Paire, Kœnigsberg, 1774 ; cet ouvrage, qui est l’arsenal de la théologie polémique ortliodoxe, a été traduit en grec et annoté par Eugène Boulgaris, Saint-Pétersbourg, 1797 ; traduit en russe par Davidovitch, Saint-Pétersbourg, 1902 ; voir Palmieri, Nomenclator litteI^al^ius theologiæ ortliodoxac russicæ ac græcx recentioris, Prague, 1910, t. i, p. 10-13 ; Prokopovitch, Tractatus de processione Spiritus Sancti, Gotha, 1772 ; Tikhomirov,

O iskofdenii Sviatogo Dukha (Sur la procession du Saint-Esprit), Kiev, 1832 ; Serge (archimandrite), Ob iskhofdenii sviatogo Duklia, dans Pribavleniia aux versions russes des œuvres des Pères, 1859, t. xviii, p. 417-521 ; Innocent, Bogoslovie oblichitelnoe, Kazan, 1859, 1. 1, p. 19-118 ; Prokhor Propoko itch. Lettres sur les causes de la séparation de l’Église occidentale de l’Église orientale, Saint-Pétersboiirg, 1862 ; Vladimir, La controverse sur la procession du Saint-Esi )ril, dans Pruvoslavnoe Obozrienie, 1867, t. xxiv, p. 317330 ; Le dogme de lu procession du Saint-Esprit dans l’Église gréco-uniate, dans Kliolmskii greko-uniatskii miesiatzestotf (1871), Vars >vie, 1870, p 60-67 ; Kraïnsky, Le catholicisme d’après les sources callioliques, Kiev, 1873, p. 91-126 ; Kokhomsky, La doctrine de l’ancienne Église sur la procession du Saint-Esprit, Saint-Pétersbourg, 1875 ; Sadov, Bessarion de Nicée, Saint-Pétersbourg, 1883, p. 42-105, 123-182 ; Nekrasov, La doctrine de saint Jean Damascéne sur les relations personnelles entre le Fils et le Saint-Esprit, ISSZ, t. i, p. 217-234, 307-326 ; Butkevitch, Un nouvel attentat des jésuites contre l’ortliodoxie : réfutation de l’ouvrage de Serge Astachkov sur la procession du Saint-Esprit, dans Viera i Bfciim, 1887, t. l, p. 299-316, 577-603, 653-690 ; t.ir, p.l01124, 579-606 ; Antoine (archimandrite). Une nouvelle intrigue jésuitique à propos de l’ouvrage d’Astachkov sur la procession du Saint-Esprit, Saint-Pétersbourg, 1888 ; Troïtzky. Contribution à l’histoire de la controverse sur la procession du Saint-Esprit, Saint-Pétersbourg, 1889 ; Katansky, La procession du Saint-Esprit, Saint-Pétersbourg, 1893 ; voir Khristianskoe Tchtenie, 1893, t. ii, p. 401-’125 ; Gousev, Une apologie jésuitique du Filioque, Moscou, 1900 ; Id-, Thèses sur le Filioque, dans Pravoslavnij Sobesiednik, 1901, t. i, p. 3-39 ; Pérov, Manuel de théologie polémique, Toula, 1905, p. 31-41 ; Philaréte, Théologie dogmatique orthodoxe, 1882, Saint-Pétersbourg, t. i, p. 94-110 ; Macaire, Tliéologie dogmatique orthodoxe, Saint-T ?éteTshouTg, 180ô, t. i, p. 267348 ; Sylvestre, Essai de théologie dogmatique orthodoxe, Kiev, t. II, p. 430-599 ; Malinovsky, Tliéologie dogmatique orthodoxe, Kharkov, 1895, t. i, p. 316-333 ; £ ; ncycZopc(fie théologique orthodoxe, t. v, col. 73-82.

IV. Théologiens grecs et latins favorables au Filioque. — Epistola ad Leonem III papam a Smaragdo ablude édita, P. L., t. xcviii, col. 923-929 ; voir Mai, De Spiritus Sancti processione a Paire Filioque opuscula duo, dans Scriplorum veterum nova collectio, Rome, 1833, t. vii, p. 244245 ; Alcuin, Libellus de processione Spiritus Sancti ad Carolum Magnum, P. L., t. ci, col. 63-82 ; Théodulphe d’Orléans, De Spiritu Sanclo, P. L., t. cv, col. 239-276 ; Ratramne de Corbie, Contra grsecorum opposita romanam Ecclesiam infamanlium, P. L., t. cxxi, col. 225-304 ; Énée de Paris, Liber adversus objectiones griecorum, P. L., t. cxxi, col. 685-721 ; S. Pierre Daniien, Opusculum (XXXVIII) contra errorem græcornm de processione Spiritus Sancti, P. L., t. CXLV, col. 633-642 ; S. Anselme de Cantorbéry, De processione Spiritus Sancti contra græcos P. L., t. CLViii, col. 285-326 ; Pierre Chrysolanus, Oratio ad Alexium Comnenum de processione Spiritus Sancti, P. G., t. cxxvii, col. 909-920 ; Rupert de Deutz, De operibus Spiritus Sancti, 1. I, 3-6, 28, P. L., t. clxvii, col. 1573-1576, 1599-1600 ; Id., De glorificatione Trinitatis et processione Spiritus Sancti, P. L., t. CLXix, col. 1-201 ; Anselme de Havelberg, Dialogi (ii). De processione Spiritus Sancti : utrum secundum græcos a Pâtre tantum procédât, an secundum latinos a Pâtre sinuil et Filio, P. L., t. CLXX.x, col. 1163-1210 ; Richard de SaintVictor, De Trinilale, 1. VI. P. /, ., t. cxcvi, col. 967-992 ; Hugues Etherianus, De heeresibus quas græci in latinos devolvunt, P. L., t. ccii, col. 233396 ; Pantaléon, Tractatus contra errores grxcorum, P. G-, t. c.xL, col. 487-510 ; voir Palmieri, dans Bessarione, S’série, 1911, t. VIII, p. 308 ; Nicéphore Blemmydes, Oratio démonslrans sanctorum Patrum testimoniis perFilium et ex Filio Spirilum Sanctum dici, P. G., t. CXLII, col. 535-565 ; Id., Oratio de nonnullis dogmaticis quæslionibus ad Theodoruni Ducam Lascarim, ibid., col. 565-584 ; Id., ’Kx t ? ;  ; tSv xkt’aJTo » Sir, Yï, T£u ;, dans Démétracopoulos, ’Exx/.ï-.TiaîiTtxi ; ?16/.io9 » , xr„ t. 1, p. 380-395 ; (les théologiens orthodoxes citent Nicéphore Blemmydes comme contraire au F1710gi(e ; voirBoulga ris, ’Av’ixv.în ; rEo’i Nix^.idjoj tej l ! /.£a ; t : 5'>j, dans Ti -aoï/.EiïToiiEvct

de Joseph Bryennios, Leipzig, 1784, t. iii, p.307-405 ; Heisenberg, Nicepliori Btemmijdie curriculum vitx et carmina, Leipzig, 1896, p. xxxvi-liv ; Id., De fide, P. G., t. CXLII, col. 585-606 ; S. Thomas d’Aquin, Contra errores grxcorum ad Urbanum /y, dansUccelli, Safic/i Thomac Aquinalis in Scripluram sacram expositioneset opuscula, Rome, 1880, p. 449-481 r

id., Dedaralio qtioriimdam arliculorum contra græcos, armei nos et saracenos, ibid., p. 492-493 ; Anontjmi liber de fide ! sanctissimiE Trinilatis ex diuersis auctoritalibiis sanctorum Putrum græcorum contra griecos, ibid., p. 301-420 ; voir sur ces écrits : Bernard de Rubeis, Disscrtationes criticæ in saiictum Thomam Aqiiinalem, xii, 2-3, dans Opéra omnia, Rome, 1882, t. i, p. ccxxv-xxvii ; Vekkos, De imione Ecclesiarum, P. G., t. cxLi, col. 15-157 ; Id., De procès-’sione Spiritus Sancti, ibid., col. 157-300 ; Id., .Id Sugdeie < ! piscopum Tlieodoriim, ibid., col. 289-337 ; Id., . ! </ Constan-Uiniim, ibid., col. 337-396 ; Id., Rejiilationes adversus Andronici Camateri super scripto iraditis testimoniis de Spi- ] ritii Sancto animadversiones, ibid., col. 396-613 ; Id., Epigraphæ sive præscriptiones in dicta ac sententias sanctorum Patrum a se collectas de processionc Spiritus Sancti, ibid., col. 613-724 ; Id., Re/ntatio libri Photiide proressione Spiritus Sancti, ibid., col. 728-864 ; Id., In tomum Cjiprii et novas eju.tdem hæreses, ibid., col. 864-925 ; Id., Oralio apologctica, ibid., col. 969-1009 ; Constantin Meliteniot. De ccclesiastica unione lalinorum et græcorum et de processione Spiritus Sancti, ibid., col. 1032-1273 ; Georges Métochitc, Kcfnlalio trium capitum a Maximo Planude monacho editorum, P. G., t. (XLi, col. 1276-1305 ; Id., Contra Manucicm Ci-etensem, ibid., col. 1308-1405 ; Id., Exccrpta ex libris IV et V de processione Spiritus Sanctit ibid., col. 1405-1420 ; Barlaam de Calabre, De primatu Ecclesioe romunæ et de processione Spiritus Sancti pro laiinis, P. G., t. cli, col. 1255-1280 ; Id., Responsio ad Demetrii Tliessalonicensis epistolam de processione Spiritus Sancti, ibid., col. 1301-1309 ; Id., Probatio pcr.tacram Scripturam quod Spiritus Simctus et a Filio est, quemadmodum et ex Pâtre, ibid., col. 1314-1330 ; Demetrius Cydonius, De processione Spiritus Sancti ad cos qui dicuul Filium Dei non esse ex substantia Pcdris, P. G., t. CLiv, c.)l. 863-958 ; Id., Epistola ad Rarlaamum, episcopum Giiracenscm, in qna ponens omnia dubia sua de processione Spiritus Sancti petit ab eo doceri, quibus modis adduclus sit credere Spiritum Sanctum et ex Filio procedere, P. G., t. cli, col. 1283-1301 ;

Id., LjfYit( ; i. ; i’/ T-.î’fl Tf. ; iyr.o’fiJiU) : T’, j (//jj tlvipiaTo ;, Cod. vin dob., 261, fol. 1-210 ; cf. Lambecius, op. c17., t. v, col. 384 ; Id.,

K « - ; à T’^.v TJ-fYp’/ ; * ; jL'>LTwv Toï KoiUÔ.TÛ.’J. iv T’^T : ivi ; ’i- <L ; ’'V’Jr, Izi V.viîîTo Tr, v « y : o j 00 ; iS Toî’A- : /i, ’, ^, ibid., fol. 210-208 ; cf. Lambecius, col. 384-385 ; Philippe de Pcra, De processione Spiritus Sancti contra græcos ; voir Quétif-Echard, Scriptores ordinis prœdicatorum, Paris, 1719, t. i, p. 016, 647 ; Manuel Calccas, Contra græcorum errores, I. I, 2-3, P. G., t. ci.ii, C(il. 17-130 ; .Maxime Chrjsoberges, Ora/io de processione Spiritus Sancti, P. G., t. r.i.iv, col. 1217-1229 ; Jean Argyropoulos, Scriptum breuissimum de processione Spiritus Sancti in quo liabetur explanatio decreti facti in sgnodo florentina, P. G., t. CLviir, col. 902-1008 ; Gcnnadius Scholarius ( ?), Expositio pro sancta et (ecumenica sgnodo florentina quæ légitime congrcgata est, et de/ensio quinquc capitum quæ in decrelo efus continentur, P. G., t. CLix, col. 1109-1190 ; Manuel Chrysoloras, De processione Spiritus Sancti contra græcos, cod. paris. lZOO, Catalogus bibHolhecæ regiæ, t. ii, p. 279 ; Isaïe de Chypre, Epistola ad Sicolaum Sclilengiam de processione Spiritus .Sancti, P. G., t. fxviii, col. 972-976 ; Joseph de Mithone, Disccptatio pro concilio florentina, P. G., t. CLIX, col. 900-1392 ; Id., Rejutatio Marci Eplicsini, ibid., col. 1023-1091 ; Grégoire Mammas, .Ipo/of/iVi contra Ephesii ronfessionem, P. G., t. c.i.x, col. 13-1(19 ; Responsio ad epistolam Xlarri Ephesii ex uariis.’iimctorunt sententiis, ibid., col. 112-201 ; Id., Ad imperalorem Trapezuntis, ibid., col205-218 ; lîessarion, Responsio ad Ephesii capitn, P. G., l. r.LXi, col. 137-211 ; Id, Apologia inscriptionum Vccci, ibid-, col. 214-310 ; Id., Refulatio si/llogismorum Maximi Planudæ de processione Spiritus Sancti contra Irdinos, ibid., col. 300-317 ; Id., Ad Alexinm I.ascarin Philanlhropinum de processione Spiritus Sanrti, ibid., col. 321-105 ; Id., Epistola generalis, ibid., roi. 449- ISO ; Id, Oralio doqmalicn pro unione, ibid, col. 513-012 ; Georges de Trébizonde, Ad Johannem Cnliorlesium de processione Spiritus Sancti, ibid., col. 709-828 ; I<l., De processione Spiritus Sanrii et tic una sancta calholica Ecclesia, ibid., col. 829-808 ; cardinal Cesarini, De inserewl’i in si/mlmlum parlirula F iliaque : disserlalio’iÀrf, ’, -. :  ; hahila in rnncilio florentina, édit. Anilosilla, l’Iorenco, 1702 ; Donaliis, IJe processione Spiritus.Stincii rouira qrœcum tchtinia, dans yia’i, Scrifitorum Deterum noi>a rollerlio. Home, 1833, t. VII, p. 5-102 ; i’osscvin, Inirrraqtitionrs et rrsponliones de processione Spiritus Sancti a Pâtre et Filio, desumptæ ne breiiiore et diliiridiore ordine iligestæ, ex libroGennadii Scholarii pntriarrhre Conslantinopolilani, Ingolsladt,

1583 ; Id., Capita quibus græci et rutheni a laiinis in rébus fidei dissenserunt, Posen, 1585 ; Grysaldus, Maliens contra grœcos, dans Decisiones /(</cioo//io7 ; ca ?, Venise, 1587, fol. 324, 347, 348 ; Hunnius, Disputatio de Spiritus Sancti deitatc ejusque a Pâtre et Filio processione, Marbourg, 1588 ; Pelargus. De admiranda el œterna Spiritus Sancti processione, Francfort, 1592 ; Boheniius, Commentatio de œterna Spiritus Sancti a Paire et Filio processione, Witteniberg, 1004 ; Bovosius, Disputaliones catholicæ in quibus præcipuæ græcorum quorumdam opiniones orthodoxæ fldei advcrsæ rejiciuntur, Bologne, 1007, p. 1-55 ; Spalchaver, Trias controversiarum Iheologicarum de Spiritu Sancto, Rostock, 1616 ; Scarparius, De œterna Spiritus Sancti processione, dans Septiformis pcrtractatio Spiritus Sancti processionem œternam, ad omnia opéra e.vtcrna, concursum, missiones visibiles, gratiarum influxus, in ipsum peccata, universam denique cjns naturam operationesqne complectens, Yérone, 1625, t. i, p. 1-22 ; Arcudius, Opuscula aurea theologica circa processionem Spiritus Sancti, Rome, 1630 ; Catumsyritus, Vera utriusque Ecclesise concordia circa processionem Spiritus Sancti, Venise, 1633 ; Allatiiis, De Ecclesiæ occidentalis atque orientalis perpétua conscnsione, Cologne, 1648 ; Grœcia orthodoxa, Rome, 1652, t. i ; 1659, t. Il ; Id., De processione Spiritus Scmcti cnchiridion (en grec moderne), Rome, 1658 ; Id., Johannes Holtingerus fraudis et imposturæ manifeste conviclus, Rome, 1601 ; Vindiciæ sijnodi ephesinæ el sancti Cijrilli de processione ex Paire et Filio Spiritus Sancti, Rome, 1061 ; Id., In Roberti Creiightoni apparatum, versionem et notas ad hisloriam concilii florcntini, Rome, 1605 ; Cundisius, Rcpetitio orthodoxæ doclrinæ de processione Spiritus Sancti, Leipzig, 1641 ; Ferchius, De personis producentibus Spiritum Sanctum, Francfort, 1040 ; Rueschman, De Spiritus Sancti diuinilale ejusque œterna processione a Paire et Filio, Helmstadt, 1647 ; Cichocki (Cichovius), Colloquium kioviense de processione Spiritus Sancti a Filio inicr Innocentium Gizcl et Nicolaum Cichovium, Cracovie, 1019 ; Tribunal sanctorum Patrum orienlalium et occidenlaliiun ab orienUdibus summe laudalorum, ad quod duas de processione Spiritus Sancti a Paire el Filio, el de præeminenlia romanorum pontificum expendendas, Cracovie, s. d. ; Meisner, Disserlalio de processione Spiritus Sancti, Wittemberg, 1653 ; Richard, Tàjva t* ;  ; zi<r ra.ic Ti, : j.-) ;  ! ’/-// ; ’i : y.y.’l.r, ’: io. : £ ; Tr.v H-.vsi-.-îj’j :, - : }, ; o-^rio^iir/.c, Pars ;

Néophyte Rliodinos, Epistola ad Johcuxiicm presbijlerum Paramgthiensem qna probal romanum ponlificem non tantuni lalinos sed etiam græcos ut suas ones quxrere : lum demum agit de processione Spiritus Sancti (en grec moderne), Rome, 1059 ; Dannhavcrus, .SVyZiJs vindo : œternæ Spiritus Sancti a l’aire et Filio processionis, inlernæ immanenlis cmanalionis, a vera rcligione, haclenus creditæ ac necessario crcdendw, Strasbourg, 160.3 ; Boym, L’« ; icicn ; ie foi, où l’on démontre aux schisnudiques la primauté de.^aint Pierre et des pontifes romains et la procession du Saint-Esprit du Fils (en polonais), Lemberg. 1668 ; Haberkornius, Disserlalio de processione Spiritus Sancli a Paire et F(710, Giessen, 1672 ; Théophile Rutka, Defensio S. orthodoxæ orientalis Ecclesiæ contra hæreticos processionem Spiritus Sanrti a Filio neganles ex SS. Palribiis, polissimum græcis dcilucla, ac confessione prœsenlis Ecclesiæ roxolanæ firmala, l’osen, 1678 ; en polonais, ifci(/., 1678 ; Id., l.e nouvel Goliath percé par son propre glaive, ou l’archimandrile Joannice Gahdowski et son ouvrage contre la proce.ision du Saint-Esprit, Lublin, 1689 ; voir Palmicri, Theologia dogmalica orlhado.ra, t. i, p. 791 ; Id., Oralor ad Ecclesiam oricnUdem, D. Aurelius Augiistinus, cuni Spiritu Sancto a Filio »rorcdenlc, pro eodem Spiritu a græcis recipiendo, ininxiucitur, Kalisz, 1000 ; en polonais, 1692 ; Id, /, Vtoi(/ « r(/ de l’union et de la paix ou V EspritSaint procédant du Fils, d’après les livres ecclésiastiques slaves (en polonais), Lublin, 1601 ; Id., Le tribunal des saints Pérès, etc., version polonaise de rou rage du P. Cickocki, Lemberg, 1098 ; Id., S. Cjirillus, palriarcha Alcrandrinus, Spiritus .Sancti a Filio procedenlis de cœlo dalus propugnalor, el neqanlium.Spiritus.Srntcti a Filio processionem anie tempus, cl tamen in teniporc werrimus expugnator, Lublin, 1692 ; en polonais, 1097 ; l(l., .ln(/c/ic » .s doclor, D. Thomas.’{quinas, expulsi ab Ecclesia græca Spiritus.Sancti a Filio œternaliler procedenlis ad eamdeni contra calumnialoremJoanniciuniGabdoii’ski restilulor et redurlor, Lublin, 1094 ; Id., I.c Saint-Esprit procédant du Fils, dialogue, Lemberg, 1097 ; Kslreicher le cite comme une traduction <le l’ouvrage du P. Nau, ’rni effiqics, vie., P<dnisrhe liibliographie des -xii Jaltrhundcrls, Cracovie, 1883, p. 4 11 ; Nau, Ecclesiæ romanæ grærœquc vera epigics, Paris, 1080, p. 10-87 ; Ilacki, QuæsUunculcc super dialogum primttm de processionc Spiritus 8-27

ESPIUT-SAINT

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Sancli a solo Paire formulæ el resolula ; a qiiodam lalinoromuno, 1082 : Coininénc l’apadopoulos, Prænoliones nii/slagogicæ, Paclouc, 1C96 ; Nagcl, De processione Spiriltis Sancti, Kœnigsbcig, 1698 ; Wcgncr, Disserlalio de j>i<>cessione Spirilus Sancli a Filio, Kœnigsbeig, 1705 ; Sander, De processione Spiritus Sancli, Wiltembcrg, 1703 ; Pfaff, Thèses de processione Spirilits Sancti a Paire et Filio, Tubinguo, 1705 ; Andriizzi, Consensus gra’coriiin lalinorumque Palriini de »rocessione Spiritus Sancti c Filio, Uonic, 1716 ; Etienne de Allimura (Le Quien), Panoplia contra schisma græcorutn, Paris, 1718, p. 223-261 ; Peicliich, Spéculum veritatis intcr orientaient et occidenlalem Ecclesiani refulgens, Venise, 1725, p. 194-212 ; Breno, Munuale missionariorum orientalium, Venise, 1726, t. f, p.80-99 ; Lampe. De seterna ac natnrali Spiritus Sancli a Pâtre et Filio processione, dans Dissertationes philologico-lheologicæ, AnisLerdam, 1737, t. ii, p. 194-224 ; Id., iî.if(me ; i pra’cipuorum in doctrina de processione Spiritus Sancli errorum, ibid., p. 224-240 ; Id., De relalionibus œconomicis Spiritus Sancti ad Patrem et Filium, ibid., p. 241-280 ; Maffei, Leonis Sapienlis liomilia nunc primuni inilgala ejusdemque qucc pholiana est, conjutatio, Padoiie, 1751 ; P. G., t. cvii, col. 133-157 ; Bernard de Rubeis, De præciDuis Georgii seu Gregorii Cyprii gestis ; deque processione Spiritus Sancli a Paire et a Filiu, seu per Filium. dans Georgii Cyprii vila, Venise, 1753 ; P. G., t. cxlii, col, 47-220 ; Tipaldi, La guida alla uera Cliicsa di Gesi’i Crislo, proposta principalmenle ai segnaci di Fo- : io, in cui si tratlano i due punti capilali dello scisma, Rome, 1754, t. ii ; Frantz, Super formulis græcorum el lalinorum de confitendu Spiritus Sancli processione, Prague, 1757 ; Antoine Kanislicli, Kamen pravi smutmje velike illiti pocelak i uzrok isliniti raslevbjenya cerlwe istocnc orf zapadne (La pierre véritable du grand scandale, ou l’origine et la véritable cause de la séparation de l’Église orientale de l’Église occidentale), Essekin, 1780 ; Pepanos, De processione Spiritus Sancli eliam ex Filio, Opéra, édit-Amaduzzi, Rome, 1781, t. i, p. 102-617 ; Costanzi, Opuscula ad revocandos ad sanctani malreni catholicam apostolicam Ecclesiam græcos et rulhenos, Rome, 1807, t. i, p. 1102 ; Rozaven, L’Église catholique justifiée contre les allaques d’un écrivain qui se dit orthodoxe, Paris, 1822, p. 1-44 ; Avedicliian, Disserlaxione sopra la processione dello Spirilo Santo dal Padree dal Figliuolo, Venise, 1824 ; Pitzipios, L’Église orientale, Rome, 1855, t. i, p. 54-64 ; Nève, De l’invocation du Saint-Esprit dans la liturgie arménienne, Louvain, 1802 ; Van der Mœren, De processione Spiritus Sancli, Louvain, 1804 ; Panfilo da Magliano, La Chiesa grecae la processione eterna dello Spirilo Santo dal Padre e dal Figliuolo, Rome, 1870 ; Swete, On Ihe liislory of Ihe doctrine of Ihe procession o/ Ihe Ilohj Spiril, from Ihe aposlolic âge to the dealh of Charlemagnc, Cambridge, 187.0 ; Jiralv, Filioque, dans Sbornik velehradsky, Prague, 1881, t. ii, p.220205 ; La procession du Saint-Espril, dans la Revue des Églises d’Orient, 1885, t. i, p. 177-179 ; 1887, t. iii, p. 465-407 ; La procession du Saint-Espril d’après la synai’jogue, ibid., 1886, t. II, p. 200-211 ; La procession du Saint-Esprit d’après saint Anselme, ibid., p. 241-244 ; Marc d’Éphèse et les saints Pères, ibid., 1887, t. iii, p. 449-452 ; La procession du Saint-Esprit d’après saint Athanase, ibid., p. 481-484 ; La procession du Saint-Esprit d’après saint Basile, ibid., p. 497-500 ; La procession du Saint-Espril d’après saint Cyrille de Jérusalem, ibid., p. 513-514 ; La procession du Saint-Esprit d’après l’Apocalypse, ibid., p. 530-531 ; Doctrine de l’ancienne Église syrienne sur la procession du Saint-Esprit, ibid., 1888., t. IV, p. 177-179 ; Doctrine de saint Thomas d’Aquin sur la procession du Saint-Espril, ibid., 1889, t. v, p. 203-200 ; La procession du Saint-Espril d’après saint Augustin, ibid., 1890, t. VI. p. 531-533 ; Astacliliov (.Jerebtzov), L’ikhozdenie svialogo Dukha (La procession du Saint-Esprit), Fribourg, 1880 ; le protoïerevs A. Lébédev a essayé de réfuter cet ouvTage dans le Strannik de Saint-Pétersbourg, 1887, t. ii, p. 005-020 ; t. III, p. 158-179, 352-305 ; voir Palmieri, La Chiesa n(s.sn, Florence, 1908, p. 645 ; Livansliy (.Jerebtzov), Les relations du Saint-Espril avec le Fils de Dieu : le protoïerevs Janychev et la nouvelle crise doctrinale de l’Église russe (en russe), Fribourg, 1889 ; Lamy, S. Ephi-a^mi Syri hynuii et sermones, Malines, 1889, t. ii, col. 353-356 ; t. iii, col. 241-244 ; Gaume, Traité da Saint-Esprit, Paris, 1890, t. II, p. 56-87 ; Howard, The schisma belween the oriental and werslern Churches.anth spécial référence to the addition of the Filioque to Wic crffrf, Londres, 1892 ; Kôlling, Pneumatologie Oder die Lehre des hl. Geistes, Gutersloh, 1894, p. 208-323 ; Brandi, De l’union des Églises : réponse à la lettre encyclique

du patriarche grec de Conslantinople, Rome, 1896, p. 25-39 ; Bain-, Argumenta contra orientaient Ecclesiam ejusquc stjnodaletn ettcyclicam anni LS’J-'>, Inspruek, 1897, p. 33-42 ; Lépicer. De Spiritus Sancti a Filio processione historira disquisitio. Home, 1898 ; Bréliier, /, c schisme oriental du./’siècle, Paris, 1899, p. 131-140 ; Palunko, liratski razgouor o grekom odijeljenju, Agram, 1899, p. 27-77 ; Palmieri, La consastaixzialitù divinae la processione dello Si>irito Santo, dans liessarione, 1900, t. vii, p. 201-221 ; Id., La mi.fsione délie divine personee la processione dello Spirilo Santo, iftW, 1900, t. viii, p. 193-228 ; Id., La processione dello Spirilo Santo : re.iegesi ed i concilii, ibid., 2’série, 1901, t. i, p..3-13, 145-1.57 ; Id., L’argoiitenlo onlologico del Filioquee le obbiezioni di un leologo russo, ibid., 1902, t. ii, p. 1.37-155, 273-278 ; t. iii, p. 1-21 ; Id., // progressa domntatico nel concello eallolico, Florence, 1910, p. 105-172 ; Id., Theologia dogmalica orthodoxa, Florence, 1911, t. i, p. 335-351, 37.3-100 ; Snopek, Sludie Cyrillo melhodejske, Brunn, 1900, p. 57-156 ; Id., Constantin-Cyrill, a IMethodef, slovansti aposlole, Olmutz, 1908, p. 82-104 ; Id., Methodius orthodoxtis fuit, dans Slavoriwt lilleræ theologicæ, 1908, t. iv, p. 354-363 ; Id., Konslantinu. <i-Cyrillus und Methodius, die Slavenap’islel, Kremsier. 1911, p. 156-203, 280-312 ; Spaldak, Duch sv. i pnsohenim svynt vychazi od Otce skrze Syna, dans Casopis hatolickeho duchovenstv.i, 190B, t..LVii, p. 643-640 ; Manuel de Castro, Valor del eonocido argumenta de santo Tomas para probar la procesion del Espiritu Santo del Ilijo, dans Revisla eclesiaslica, Valladolid, 1908, t. x.vii, p. 556-562 ; t..X-Xiii, p. 171-178 ; Jugie, Le passage des Dialogues de saint Grégoire relatif à la procession du Saint-Espril. dans les Échos d’Orient, 1908, t. xi, p. 321-331 ;.Salaville, Doctrina de Spiritus Sancti e.v Filio processione iit qttibusdam syriacis epicleseos formulis aliisqae documenlis ipsas illastranlibiis, dans Slavorum lilleræ theologicæ, 1909, t. v, p. 105-172 ; de Meester, Étudessur lathéologie orWiodo.re, Maredsous, 1911, p. 3347 ; A proposito di un testa inedito rigtiardanle Ut qtiestione dogmalica stilla processione dello Spirilo Santo, dans Roma e l’Oriente, Grottaferrata, 1911, t. ii, p. 89-99.

Enfin, sur l’ensemble de l’article : Opusculum presbyleri Simonis Dalmatæ, ex civitate phareitsi in qtio traclatur de baptisnto Spiritus Sancti et virtute ejtis super Euungelio Johannis, Venise, 1477 ; Drakonites, l’on dem heiligen Geisl Jestis Christi, Lubeck, 1548 ; Garcicus, Confessio pia el orthodoxa de Spirilit Sancto, Bautzen, 1565 ; Lugtenius, De missione.Spirilus Sancti, Anvers, 1565 ; Grsecius, De persona et offtcio Spiritus Sancti, Heidelberg, 1006 ; Ambroisc de Peùalosa, Optts egregium de Christi et Spiritus Sancti divinitate, necnon sanctæ Trinitatis myslerio contra Judxos, Photinuin, Socinum, Eniedinum, aliosque veteres et novos arianos. Vienne, 1635, p. 227-251, 634-658 ; Darscheus, Disserlalio de sancti Dei Spiritits divina persona, Strasbourg, 1030 ; Reineeius, De Spirita Sancto, Wittemberg, 1636 Pikelius, Veritas calltolica qua Ires diuinæ personx Pater, Filius, et Spiriltis Sattetus iit tina esseitlia contra obstinatos fttda’os, arianos ac anabaplislas ex hebrœo le.rlu Veteris Testamenti declarantitr, Vilna, 1642 ; Rehfeld, De Spiritti sancti ficatore, Erfulirt, 1045 ; Xicolai, PetttecosUtlia, hoc est. de Spirita Sancto, Dantzig, 1648 ; Jlaresius, De personalilale adeoqtie divinitate Spiriltts Saitcli contra socinianos, Groningue, 1650 ; Caselius, Pneumatoloyiæ sacræ dispttlaliones, Altenbourg, 1653 ; Molanus, De persoitalilale Spiritus Sancti, léna, 1060 ; Sandius, Problema paradoxttm de Spirilu Sancto, an iton per illum sanctorunt angelorttm genits intelligi possit, ttita cunt refutatione opinionis socinianorttin, Spiriltim Sanclttnt personant esse negantiitm, Cologne, 1078 ; Vittichius, Cattsa Spiritus Sancli personæ divinæ, efusdem ctini Paire a Filio essentiæ, Leyde, 1078 ; Id., Causa Spiritus Sancli viclrix.Leyde, 1082 ; Tliiling, De Sandio illitisqiie seittenlia Spirititm Sancltim esse genus aiif/c/oj’Hm, Hambourg, 1700 ; Wuerlîel, De peccato iit Spirilum Sanclttnt, Greifensee, 1704 ; Id., De Spirilu.Sancto, ibid., 1714 ; Stryck, De Spiriltis Sancli nonitttlla ex prioribus nouent Proverbiorttm Salomonis capitibtts. Halle, 1704 ; Weisius, E.rercitationes theologicæ de mnentoitico Spiritus Sancli offtcio, Leipzig, 1711 ; Olearius, Dissertatioites theologica’de Spiritits Sancli ciini Paire et Filio adoratione et glorificatione, Leipzig, 1711 ; Haferung et Gœtting, Disserlalio theologica de apodixi Spiritus Sancli, Wittemberg, 1718 ; Weise et Parr, £)isser/n(i"o Iheologica de habitatione Spiritus Sancli in credentibtis, Helmstadt, 1718 : Kettnerus, Tractalus théologiens de advocatione, atixilio et gemitti Spiriltts Sancti, léna, 1720 ; Fechtius, Theorcma theologictim de approxiinatione Spiritus Sancti subslanliali, Rostock, 1719 ; Hottinger, Disserlalio Iheologica de commitnione Spiritus Sancti electos et redemptos regenerantis, obsignantis et confirmantis, Zurich, 1723-1724 ; Putnoki, De Spiritu Sancto, Brême, 1728 ; Weissenborn, Dissertatio theologica de gratia Spiritus Sancti, Iéna, 1729 ; Walch, De velerum symbolorum in articulo de Spiritu Sancto discrepantia, Iéna, 1730 ; Id., "Ekey75 ; Spiritus Sancti, Iéna, 1733 ; Zeibich, Schediasma theologicum de i Spiritus Sancti, Wittemberg, 1733 ; Lampe, De nomine Spiritus Sancti, dans Dissertationes philologico-theologica, Amsterdam, 1737 ; t. II, p. 101-109 ; Id., De personalitate Spiritus Sancti et elenchus corum qui Spiritum Sanclum personam esse negant, ibid., p. 109-150 ; Id., De deitute Spiritus Sancli, ibid., p. 151-194 ; Id., De apparitionibus Spiritus Sancti, ibid., p. 322-354 ; Pfeiffer, De divinitate Spiritus Sancti, Iéna, 1740 ; Ansaldi, De baptismale in Spiritu Sancto et igni commentarius, Milan, 1752 ; Meene, Die persönliche Fürssprache des hl. Geisles für die Gläubigen, Helmstadt, 1754 ; Becker, Personalitas Spiritus Sancti contra perversam pseudonymi Theodori Klema Scriptura interpretationem, Rostock, 1765 ; Id., An Tellerus, nisi negata vera Spiritus Sancli deitate, de illo adorando, speciale spiritus Sancli mandatum postulare queat, Rostock, 1766 ; Pfeiffer, Nova methodus deitatem Spiritus Sancti absque rationibus probantibus cognoscendi, Erlangen, 1766 ; Strauss, De divinitate Spiritus Sancli, Iéna, 1768 ; Pauli, De opere Spiritus Sancli salutari, Wittemberg, 1781 ; Rosenmuller, Observationes nonnullæ ad historiam dogmatis de Spiritu Suncto pertinentes, Erlangen, 1782 ; Storr, Doctrina de Spiritus Sancti in mentibus nostris efficientia momento suo ponderata, Tubingue, 1788 ; Rink, De Ilizio in mente Christi, Rostock, 1789 ; Steinmetz, Schriftmüssige Betrachtung von der Versiegelung der Gläubigen mit dem hl. Geiste, Œls, 1790 ; Berlin, 1881 ; Francke, Doctrina de operationibus Spiritus Sancli, Kiel, 1810 ; Faber, A practical treatise on the ordinary operations of the Holy Spirit, Londres, 1823 ; Hinton, The work of the Holy Spirit in the conversion, Londres, 1830 ; Staudenmeier, Der Pragmatismus der Geistesgaben oder das Wirken des göttlichen Geistes in Menschen und in der Menschheit, Tubingue, 1835 ; Olboeter, De quæstione cur Spiritus Sanctus hodie in Ecclesia non edat miracula, Berlin, 1836 ; Winslow, The inquirer directed to an experimental and practical view of the work of the Holy Spirit, Londres, 18410 ; Steinler, Verhandeling over de werking van den heiligen Geest, Gravenhage, 1844 ; Kahnis, De Spiritus Sancti persona, Brestau, 1845 ; Pannier, Le témoignage du Saint-Esprit : essai sur l’histoire du dogme dans la théologie réformée, Paris, 1893 ; Ettingen, Das göttliche Noch nicht ; ein Beitrag zur Lehre von hl. Geiste, Erlangen, 1895 ; Klett, Das Wirken des hl. Geisles in den Gläubigen unserer Tage, im Vergleich zu seiner Wirksamkeit in den Gemeinden der Apostel, Barmen, 1895 ; Deutz, Der hl. Geist dogmatisch-asketische Erwägungen über sein Wesen und seine Wirksamkeit in der Kirche und in der Seele der Glaubigen, Dulmen, 1896 ; Schell, Das Problem des Geistes mit besonderer Würdigung des dreieinigen Gottesbegriffs in der biblischen Schöpfungsidee, Wurzbourg, 1898 ; Spurgeon, Goll der hl. Geist nach seinem Wesen und Wirken dargestellt, Cassel, 1900 ; Stosch, Die Wirksamkeit des hl. Geistes in der apostolischen Zeit und in der Gegenwart, Gutersloh, 1900 ; Bohn, Die Lehre vom hl. Geist, Berlin, 1908 ; Caccia, La divina personalita dello Spirito Santo specialmente da 1 Cor., 11, 6-16, dans Scuola cattolica, Milan, 1911, t. xx, p. 66-73, 183-191, 321-333, 483-490 ; t. XXI, p. 170-180, 532-540.

A. PALMIERI.