Correspondance de Voltaire/1764/Lettre 5727


5727. — À M. LE COMTE D’ARGENTAL[1].
30 juillet.

La poste part ; je n’ai que le temps de dire à mon ange que le Portatif[2] n’est point de moi, que je le renie, et que cette affaire empoisonne un peu ma pauvre vieillesse, qui était assez plaisante.

Mettez-moi plus que jamais à l’ombre de vos ailes.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François.
  2. Le Dictionnaire philosophique.