Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 7/1442
1442. À MADAME GEORGES CHARPENTIER.
[Paris, 7 ou 8 mars 1874].
Chère Madame,
Je reçois votre pancarte japonaise au moment où je venais de vous prévenir que ma première n’a lieu que mercredi 11.
Je suis écœuré par tous ces retards ! et je vous présente mes excuses.
C’est à grand peine que j’ai pu vous avoir une loge ; elle est de quatre places. Je n’en ai qu’une et il n’y a pas eu location.
Probablement que d’ici à mercredi je vous prierai d’y recevoir deux belles dames.
Donc à mardi, une heure précise.
En vous baisant les mains, je suis, Madame,
Votre.