Augustin d’Hippone/Les Soliloques
TRAITÉS PHILOSOPHIQUES.
LES SOLILOQUES ou CONNAISSANCE DE DIEU & DE L’ÂME HUMAINE
Chapitre premier.
Prière à Dieu.
125
Chap II.
Ce qu’il faut aimer.
128
—III.
Connaissance de Dieu.
128
—IV.
Qu’est-ce qu’une connaissance certaine ?
129
—V.
Une même science peut embrasser des choses différentes.
130
—VI.
Par quels sens intérieurs l’âme aperçoit Dieu.
130
—VII.
Jusques à quand la foi, l’espérance et la charité seront nécessaires.
131
—VIII.
Ce qui est nécessaire pour connaître Dieu.
132
—IX.
L’amour de nous-mêmes.
132
—X.
L’amour du corps et des choses extérieures.
132
—XI.
Les biens extérieurs doivent plutôt être acceptés que recherchés, en vue des biens véritables.
133
—XII.
Il ne faut rien désirer que ce qui conduit au souverain bien, rien craindre que ce qui en éloigne.
134
—XIII.
Comment et par quels degrés on parvient à la sagesse.
135
—XIV.
C’est la sagesse elle-même qui guérit les yeux pour les rendre capables de voir.
136
—XV.
Comment on connaît l’âme. Confiance en Dieu.
137
Chapitre premier.
De l’immortalité de l’homme.
139
Chap. II.
La vérité est éternelle.
140
—III.
Si la fausseté doit toujours durer, et si elle ne peut exister sans être perçue, il s’ensuit qu’il existera toujours une âme quelconque pour la percevoir.
140
—IV.
Peut-on conclure l’immortalité de l’âme de la durée du vrai et du faux ?
141
Chap. V.
Qu’est-ce que le vrai ?
141
—VI.
D’où vient la fausseté et où réside-t-elle ?
142
—VII.
Du vrai et de ce qui lui ressemble.
144
—VIII.
Ce qui constitue le vrai ou le faux.
144
—IX.
Que sont le faux, le trompeur et le menteur ?
145
—X.
Il y a des choses vraies, précisément parce qu’elles sont fausses.
146
—XI.
Vérité dans les sciences. — Qu’est-ce que la fable ? Qu’est-ce que la grammaire ?
146
—XII.
De combien de manières certaines choses existent dans une autre.
148
—XIII.
Conclusion en faveur de l’immortalité de l’âme.
148
—XIV.
Examen de la conclusion précédente.
149
—XV.
Nature du vrai et du faux.
150
—XVI.
Peut-on donner aux choses excellentes les noms des choses moindres ?
151
—XVII.
Y a-t-il quelque chose d’entièrement faux ou d’entièrement vrai ?
152
—XVIII.
Les corps sont-ils véritablement ?
152
—XIX.
L’immortalité de la vérité prouve l’immortalité de l’âme.
153
—XX.
La vérité est dans toutes les âmes, même à leur insu.
153