Paul Ollendorff (Tome 2p. 253).
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Enfin, Christophe le remarqua, dans un salon ami, où ils se trouvèrent un soir. Olivier se tenait loin de lui, et il ne disait rien ; mais il le regardait. Et sans doute qu’Antoinette flottait ce soir-là autour d’Olivier : car Christophe la vit dans les yeux d’Olivier ; et ce fut son image, brusquement évoquée, qui le fit venir, à travers tout le salon, vers le messager inconnu, qui lui apportait, comme un jeune Hermès, le salut mélancolique de l’ombre bienheureuse.