Œuvres poétiques de Chénier (Moland, 1889)/Ces vils sophistes, à chaque excès

Œuvres poétiques, Texte établi par Louis MolandGarnierVolume 2 (p. 335-336).


XVII[1]


Ces vils sophistes, à chaque excès, etc… disaient : C’est bien[2]. (En citer plusieurs exemples et ses propres paroles, surtout quand il s’extasie sur le bon sens du faubourg Saint-Antoine[3]) Tous, dans les calamités publiques, semblaient se consoler en faisant beaucoup de calamités particulières, etc., etc., et se croyaient moins malheureux quand ils avaient…

  1. Publié dans l’édition de 1840.
  2. Comparez avec un passage du Jeu de paume, t. I, page 14. Voyez, dans l’Orateur du peuple, au sujet du sac de l’hôtel de Castries, le 13 novembre 1790, un article qui débute ainsi : « Gloire immortelle au peuple de la capitale ! Il vient de déployer une seconde fois l’appareil imposant de sa puissance ! »
  3. C’est Brissot dont parle André Chénier.