Étymologies des noms de lieu de la Drôme/Chapitre 4

Texte établi par Auguste Aubry,  (p. 91-129).
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§ IV.

Noms empruntés à l’idée de maison, hameau, colonie, domaine, clos, chapelle.


« La première chose que font les hommes qui s’établissent dans un lieu quelconque, dit M. Cocheris[1], c’est de s’y installer aussi commodément que possible, et de façon à repousser les ennemis, bêtes ou gens, qui pourraient venir les surprendre. Des maisons, des haies, des fossés, des retranchements, et, si la colonie prospère, des remparts et des tours sont établis pour protéger le nouveau centre de population. »

Le nom d’Aucelon ou Ocellon, sur une hauteur près de Luc, Aucelonum, en 1167 et 1332 ; de Aucellone, en 1168 et en 1276 ; Aucellum, en 1218 (Cart. de Die, passim), ancien fief des Poitiers, des évêques de Die (1450), des Alléoud (1662) et des Caritat de Condorcet (XVIIIe s.), paraît être un diminutif d’auca, aucha, ocha, ochia, hochia, olca, olchia, enclos labouré, jardin, en b. l., oche, osche, hoche, ouche, en v. fr. Ces mots ont la même racine qu’occare, couper, labourer, en b. l., herser, en l., oche, entaille, ocher, oscher, entailler, en v. fr. (aesk et aska en br.), ask et aesk, lance, en ang. s. (Ferguson, p. 216). M. Pictet (Or. europ., t. II, p. 97) rattache ces mots à un thème primitif sanscrit acka, venant du radical , percer, pénétrer, qui a formé ascia, hache, etc. Olca, terre labourée et close, dans Grégoire de Tours, est une variante du même mot qui a une affinité évidente avec sulcus et ολϰος (sillon). Les noms de lieu analogues sont : les Oches ou Osches, les Ouches, Hoche, Ochey, Ouchy (Ulceium), etc. Dans le Cartulaire de Léoncel, il est souvent question de la famille de Loscha ou de l’Oscha, qui habitait Romans dans le XIIIe s. Pour och, uch, élevé, en br., qui dérivent d’un autre radical, v. le § I, v.o Eyzahut.

Aulan (Aulancum), près de Séderon, a appartenu, du XIVe au XVIIe s., à la famille de l’Espine, éteinte dans celle des Suarès, marquis d’Aulan, venus d’Espagne dans le Comtat il y a environ deux siècles[2]. Peu avant 1789, la dernière des Suarès épousa M. Valery d’Harouard, dont le petit-fils a été autorisé, an 1853, à ajouter à son nom ceux de Suarès d’Aulan. Ce nom paraît dériver d’aula, maison, aisances, enceinte, halle, en l. et en b. l., αυλη, en gr., ol et ola, en basque (d'où : olha, bergerie[3]) ; on trouve aula nova, pour sala nova (maison neuve, Salnove, voir Sales) ; Halen ou Hallen (les maisons) est un village du Brabant. Pour la terminaison moderne d’Aulan, voir le § I, v.o Geyssans ; la terminaison latine ancum rappelle les finales anc, enc et inc, si communes dans les noms gaulois ; elle peut être expliquée par le k, ang ou eng, grand[4] ; Aulancum serait alors synonyme du nom de Casagrande. Dans le nord, ain, aing, eng, enc, de même qu’aie, oy, indiquent la collectivité, comme dans Houdain, Houdeng, Houssaie, Houssoy, lieu planté de houx[5], ce qui donnerait à Aulancum la signification de Maisons, Lascazes ou Lascours.

Barcelone, Barcilena, en 1239 et en 1332[6] ; Barcilona, en 1283, est un village situé près de Chabeuil et dominé par un château en ruines. Il avait donné son nom à une famille connue depuis Hugues (1283), et éteinte dans les d’Arvillars, de Chabeuil, qui se sont éteints eux-mêmes dans les de Luzy de Pélissac, vers 1710. Ce fief a appartenu aux Poitiers (1332), aux Odoard (1500-1603), aux Gelas de Léberon (1655), aux de Marsanne et aux de Vesc de Béconne (XVIIIe s.).

Le nom de Barcelone est emprunté à une racine sémitique ; on la retrouve dans ceux de Barcelone (Gers) ; Barcelonnette (Basses-Alpes) ; Barcillonnette (Hautes-Alpes) ; mais il est très-douteux pour moi qu’il rappelle le séjour en Dauphiné[7] des Sarrasins, qui ont pillé et détruit et non pas construit. Il me paraît plus naturel d’y voir le résultat d’un événement accidentel, comme pour le nom de la ville de Barcelonnette, construite en 1230 par Raymond Bérenger V, dont les ancêtres étaient originaires de Barcelone (Espagne). Le nom primitif de cette ville, fondée par les Carthaginois, était Barcino, emprunté à barcè, citadelle, en phénicien, correspondant au pura, ville, en s. c. t., au borch ar. et pers., au πυργος gr. et au burg germ., etc. Un exemple analogue est celui de la fondation, en 1290, par Eustache de Beaumarchais, sénéchal d’Albigeois, d’un château fort auquel il donna le nom de Pampelonne, en souvenir de Pampelune (Πομπειοπολις, ville de Pompée), dont il s’était emparé à l’époque de l’expédition de 1276 ; le bourg de Pampelonne (Tarn) a été construit peu à peu autour de ce castel. Il est très-probable que le château de Pampelonne (Ardèche), Pampaluna et Pampalona dans les actes latins, mentionné pour la première fois en 1332, a la même origine[8]. Le domaine de Bergopzon, entre Vernoux et Saint-Barthélemy, a reçu ce nom en souvenir de la prise glorieuse de Berg-op-Zoom (1747), à laquelle avait assisté son propriétaire.

Barret-de-Lioure, près de Séderon, Castrum Barreti, ancien fief des d’Agoult ; Pont-de-Barret, Pons Barreti (voir Savenna, § III) ; Barri ou Barry, château fort en ruines près de Saillans (il en existe un autre près de Bollène ; voir Aeria, § V) ; Barjac (Gard) ; Bariacum (c’est le nom de Barri avec la finale celtique ac); Barjols (Var), Bariolum ; Barre, la Barreyre, le fort Barraux, Bar-le-Duc, Bar-sur-Seine, etc., sont empruntés à un radical qui a fourni un nombreux contingent aux langues indo-européennes. On le retrouve dans var, protéger, clore, entourer ; varana, mur, clôture, en s. c. t. ; var, vara, château fort, en zend ; wârah, maison, en pers. ; vara, en sc. ; wari, maison fortifiée, en anc. all.[9] ; (βαρις, vaisseau, tour, maison, en gr. ; bérich, barrière, en héb. (Gesenius, p. 174); baraque, barachad, en irl. et en éc. ; c’est le mot maison pris en mauvaise part ; barrière, embarras ; dans le b. l., barra, barria, barreyra, barrium, barrière, rempart, faubourg, barri, en prov., d’où : barrier, portier et receveur du péage perçu aux barrières des routes, des villes et des ponts, comme au pont de Barret. On rencontre aussi le radical barr avec le sens de branche, barre, dans les langues germ. et néo-celt. et dans le latin vara (Pictet, t. I, p. 199). V. la Fare, Véronne.

D’après deux actes suspects ou faux, le fief de la Batie-Rolland (Bastida Rolandi) , près de Montélimar, sur le territoire duquel on trouve des antiquités romaines, appartenait en 1198 à Lambert Roland, et en 1237 à Aymard Roland[10]. Il est difficile de déterminer l’époque précise à laquelle un Roland, seigneur de la Batie (de Bastida), pour distinguer son fief des nombreuses Bastides ou Basties, lui a donné son nom, qui signifie, en t., glorieux dans le pays ou gloire du pays, roth land (Pott, p. 233 ; Ferguson, p. 371). Si le fief de la Bâtie n’avait pas été simultanément possédé par plusieurs coseigneurs, on ne comprendrait pas qu’en 1283 il appartînt aux Adhémar ; en 1330 et 1336, à Hugues de Bastida Rollandi[11] ; en 1332, à Aymard de Poitiers[12] ; et en 1336, à Lambert Adhémar. De la famille de la Bâtie, ce fief passa aux Cornillon, aux Beaumont (1417), aux Blain du Poet (1589) et aux Dejean de Caderousse (1769). Voir M. Lacroix, t. I, p. 175.

Le nom de la Batie, comme ceux de la Bâtie-des-Fonts (fontaines) et de la Bâtie-Crémezin, près de Luc, de Bastet, près de Marsanne, de la Bastide, de Bastia, dont la fondation remonte à une bastie ou bastion, construit en 1383 pour défendre l’entrée du port, et de Baternay, près de Saint-Donat, Basternacum en 941, Basternaïcum en 1050, et Basternay vers 1095[13], sont empruntés à un radical primitif qu’on rencontre dans les mots bâton et bâtiment. Chez la plupart des peuples primitifs, les maisons étaient construites en bois (planches, branches ou osiers, enduits d’une bouc argileuse) et recouvertes en chaume[14] ; les habitations lacustres, bâties à peu près de la même manière, reposaient sur des pilotis ; aussi le même radical a-t-il formé palati, arbre, et palli, village, en s. c. t. ; palatium, lieu palissade, et plus tard palais ; pal, pilotis, etc.

On reconnaît la racine qui a formé le mot latin hasta, lance, javelot, et primitivement branche, dans les substantifs basto, en b. l., bastone, en it., baston, en v. fr., dont la finale indique un augmentatif ; dans ast, branche, en all., asts, en goth., astal et astas, en irl. ; dans basterna, litière soutenue par des bâtons ; βασταξ, portefaix, en gr., etc., et dans kâsta, branche, bûche, en s. c. t. ; bast, mur, construction, en pers. ; basti, en hind. ; basternia, portique, galerie, en l. (basterna, en b. l., d’où le nom de Bâternay donné à une construction en bois). Les bastilles étaient dans le principe des tours de bois qu’on faisait rouler près des murailles pour combattre les assiégés avec plus d’avantage et faciliter l’escalade. Quant au s. c. t. vasita, vasta, maison, il vient de vas, se fixer[15]. Le fief de Baternay avait donné son nom à la famille de ses anciens seigneurs, éteinte depuis longtemps. Il a appartenu ensuite aux la Baume d’Hostun (1600) et aux Chabrières de Peyrins (1789). Le mot Crémezin ou Cramezin, ajouté à celui de Bâtie, rappelle probablement un incendie, et dérive de créma esia, maison brûlée (créma pour cremata, en prov.). V. § I, Eyzahut et Cliousclat. La Batie-des-Fonts, après avoir fait partie des possessions des comtes de Die, passa par succession aux d’Agoult (1189), qui la vendirent à Pierre d’Armand (1603) ; elle fut achetée, en 1678, par le président de Ponnat, dont la famille habite Paris ; mais les évêques de Die étaient, depuis 1436, coseigneurs de la Bâtie (Bastida Fontium), située aux sources de la Drome.

La Bégude de Châteauneuf-de-Mazenc, celle d’Allan, la Bègue de Ballons sont des hameaux qui ont commencé par un cabaret ou une buvette placé sur une route. Ce nom vient de begusta, en b. l., begudo, en prov., endroit où l’on boit. Le hameau de Malataverne, sur l’ancienne route de Montélimar à Saint-Paul, est appelé Malle-Taverne dans un document de 1619. Il est près du bois des Mattes, où l’on arrêtait souvent les voyageurs.

Bésayes ou Bézayes, près du Bourg-de-Péage, est appelé Villa Basaicas, en 995[16] ; Besaias, en 1081 ; Baisaias, en 1233 et en 1251 ; Baysayas, en 1240 ; Basaies, en 1262[17]. La forme la plus ancienne, Basaicas, rappelle l’existence d’une église ou chapelle, basilica, en l. ; ce mot, tiré de βασιλευς, roi, et d’οιϰος, maison, désignait dans le principe un édifice voisin du palais et affecté au service de la justice. Après le règne de Constantin, beaucoup de basiliques furent transformées en chapelles, et ce mot fut appliqué plus tard à des oratoires ruraux, autour desquels se groupèrent ensuite des maisons (M. Giraud, t. I, preuves, p. 80).

D’après M. Terquem[18], dont il ne faut cependant accepter les solutions que sous bénéfice d’inventaire, le nom latin de Bazailles (Moselle) était Basilice. M. Gatchet, p. 20, dit que Basuges (Suisse), aujourd’hui Saint-Prex, s’appelait Basilica, comme Bâle. M. Houzé, p. 53, et M. Quicherat, p. 32, citent de nombreuses Basilica, Basiliga, Basiligia, Basoichia et Basochia transformées en Bazauges, Bazeuges, Bazoches et Bazouges. On peut mentionner encore Basècles (Hainaut), Villa Basilicæ en 1040[19]. Le palais de justice où siégeait le Parlement de Paris fut longtemps la demeure des rois de France ; comme il y avait une basilique affectée au service de la justice, on appela les clercs basilicains ; ce mot fit place plus tard à celui de bazoche, soit par suite d’une altération, soit par suite d’une distinction qu’on voulut faire entre l’édifice civil et la basilique religieuse[20]. Le fief de Bézayes, dont le nom rappelle celui de Gleysoles et de la Chapelle, a presque toujours appartenu aux seigneurs de Charpey ou au domaine du roi.

Bourdeaux, Bordeuz, en 1193 ; de Bordellis, en 1210 et en 1324 ; Bordeauls, en 1421, était la propriété des évêques de Die, qui l’avaient acheté d’Aimar de Poitiers, en 1283, et de la veuve de Geoffroi de Bourdeaux, en 1320. Ce nom, comme ceux des Bourdeaux (Vaucluse et Isère) ; de Châteauneuf-de-Bordette, près de Nyons ; des Bourdelles ; de la Borde ; du Bord ; de Borderie, etc., sont des diminutifs ou des modifications de borda, métairie, domaine, en b. l., baurd, en goth., bord, en anc. all. et en ang. sax., bordi, chez les Arabes d’Algérie. Bordier, bordarier, fermier, et quelquefois locataire, en v. fr., bordel, mot qui plus tard a été pris en mauvaise part, ont la même racine. Bord, en ang. sax., en sc., en dan., en suéd. et en holl., baurd, en goth., signifient planche, table (Meidinger, p. 238). Cette analogie, que j’ai déjà signalée à l’occasion des Basties et des bastons, prouve que les bord ou baurd d’outre-Rhin étaient primitivement construits en planches. Les Russes disent encore : couper une maison, au lieu de bâtir, parce qu’ils se servent presqu’exclusivement de bois. V. Taulignan. Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/112 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/113 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/114 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/115 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/116 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/117 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/118 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/119 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/120 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/121 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/122 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/123 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/124 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/125 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/126 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/127 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/128 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/129 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/130 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/131 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/132 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/133 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/134 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/135 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/136 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/137 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/138 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/139 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/140 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/141 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/142 Page:Adolphe de Coston - Étymologies des noms de lieu de la Drôme.djvu/143


  1. L’Écho de la Sorbonne du 9 janv. 1869.
  2. Pithon-Curt, Histoire de la noblesse du comté Venaissin, t. I, p. 400 ; t. II, p. 363.
  3. Prufung der Untersuchungen, p. 48.
  4. Belloguet, t. I, p. 219 ; — Zeuss, p. 774.
  5. Chotin, Études étymologiques sur les noms… du Hainaut, p. 33.
  6. Gallia Christina, t. XVI, Preuves, p. 129.
  7. V. l’Annuaire de la Drome pour 1835, p. 39.
  8. Ce château appartenait en 1332 à Astorge de Geys, père de Guillaume : Corriger l’article Geys, v.° Geyssans, § I.
  9. Pictet, Origines indo-européennes, t. II, p. 194 et 241.
  10. L’abbé Chevalier, Chartularium Montilii Æmarii, p. 23 et 29.
  11. Idem, p. 94 et 102.
  12. Gallia Christiana, t. XVI, Preuves, p. 129. On a imprimé, par erreur sans doute, Bastida Rochani pour Bastida Rollani.
  13. Giraud, Preuves, t. I, p. 5, 18, 153.
  14. César, V, 43, et VIII, 5 ; — Vitruve, II, 1 ; — Strabon, IV, 104 ; — Belloguet, t. III, p. 58 et 470.
  15. Pictet, Origines, t. I, p. 199, et t. II, p. 194, 209, 238 ; — Burnouf, p. 571.
  16. Chorier, Histoire de la maison de Sassenage, p. 85 ; — Charvet, Hist. de l’église de Vienne, p. 271.
  17. Giraud, passim ; — Cart. de Léoncel.
  18. Étymologies des noms du département de la Moselle, p. 11.
  19. Chotin, Études étymol. et archéol. sur les noms… du Hainaut, p. 71.
  20. Fabre, Études historiques sur les clercs de la bazoche.