Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858/Course de Sauvegarde


Luchon, jeudi, 29 juillet.


COURBE DE SAUVEGARDE.


On me réveille à cinq heures. Le temps est radieux. Partis à six heures avec P... ; deux guides, Redonnet Natte et Ribis. C’est la plus délicieuse matinée que nous ayons encore eue dans les montagnes. Cet air finis et vif, ces Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/108 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/109 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/110 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/111 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/112 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/113 Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/114 toujours de la peine, et laissent toujours un vide. Mes courses vont être solitaires. À sept heures, adieux et départ… — Rentré à onze heures ; de gros nuages passent sur la lune, et les chevaux qui devaient m’attendre pour le Monné, en cas de beau temps, sont encore absents.