Page:Zanta - La Renaissance du stoicisme au 16e siecle.djvu/12

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
II

chrétienne et avait été signalée avec beaucoup de clarté dans les thèses de M. de Faye sur Clément d’Alexandrie, de M. Thamin sur saint Ambroise et la morale chrétienne au IVe siècle, de M. Pichon sur Lactance.

À ces maîtres, je dis toute ma gratitude ; ils ont été pour moi, soit par leurs livres, soit par leurs conseils, des guides précieux, sans lesquels il m’eût été difficile, dans un siècle aussi riche, aussi divers que le XVIe siècle, de rassembler les éléments épars du stoïcisme et d’y apporter quelque unité.