Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/196

Cette page n’a pas encore été corrigée

teau  !) Lorsque je m’élançai par la porte du jardin, c’était trop tard, trop tard !

Nous pourrions revivre encore une fois cela, si c’était la peine de le souffrir ; si le passé de passion, qui s’est enfui, pouvait rappeler ses morts.

Eh bien, s’il faut que mon cœur se brise, cher amour, à cause de vous, il se brisera en musique, je le sais. C’est ainsi que se brisent les coeurs des poètes.

Mais, chose étrange, on ne m’avait point appris que le cerveau peut contenir dans une toute petite cellule d’ivoire et le ciel de Dieu et l’enfer.