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Je ne saurais écrire un imposant prologue, comme prélude à mon lai, ce serait, j’ose le dire, les propos d’un poète à un poème.

Car si parmi ces pétales tombés, il en est un qui vous semble beau, l’amour l’emportera jusqu’à ce qu’il se pose sur votre chevelure.

Et lorsque le vent et l’hiver endurciront tout le pays dépouillé de son charme, il parlera tout bas du jardin, et vous comprendrez.