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nemessômchi ge meu oudeu chlaiein o ; che thanêsi brotôu chai potmou epispê touto un chai geraz oion oizuroisi brotoisi cheirasthai te chomên baleein t’apo dchchru pareiôn.

Il n’est point de paix sous le soleil de midi. — Ah ! Y a-t il de la paix dans ces prairies, ou ceinte d’une toison argentée, comme une belle bergère, s’égare la lune ?

Reine des jardins du ciel, où les étoiles, pareilles à des lis, blanches et belles, brillent à travers les brouillards de l’air glacé. Oh ! reste encore, car l’aube approche.

Oh ! reste encore, car le jour envieux tend de longues mains pour saisir tes pieds !