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que je ne pus m’empêcher de le regarder.
— Dick n’a pas l’air d’aimer les sauvages, dis-je tout bas à Robert.
— Non, il a sur le cœur une certaine histoire de boomérang qui lui est arrivée avec eux, et dans laquelle son amour-propre de tireur a été soumis à une rude épreuve ; je te conterai cela.
— De boomérang, dis-tu ? mais cet instrument existe donc encore en Australie ?
— Assurément, et c’est même la seule arme sérieuse que possèdent les indigènes ; tu pourras en juger tout à l’heure.
À ce moment, nous aperçûmes trois naturels arrêtés à quelques mètres de