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avons pu consulter à notre aise pour le travail du collationnement. Quant aux six dernières pièces (tirées du ms. de l’Arsenal), cinq ont été transcrites par nous-même et la sixième par un ami. Comme il est dit en note à la p. 359, nous avons, dans un intérêt à la fois paléographique et philologique, conservé à ces six pièces la physionomie exacte de l’original, c’est-à-dire que nous nous sommes abstenu d’y redresser les fautes grammaticales soit du copiste, soit de l’auteur, comme nous l’avions fait pour les autres.

Notre procédé, en ce qui concerne la notation (l’accentuation) et la ponctuation, est resté le même que pour nos éditions de Baudouin et de Jean de Condé. Les notes explicatives, qui terminent le volume, ont été également rédigées d’après les mêmes principes et dans les mêmes proportions de mesure et d’étendue. Elles seront, nous l’espérons, aussi favorablement accueillies que celles qui accompagnent les ouvrages rappelés.

Nous manquerions à un devoir si, en terminant, nous n’exprimions notre reconnaissance pour leurs obligeants services à M. Paul Lacroix, conservateur de la Bibliothèque de l’Arsenal, à M. Paul Meyer, des Archives impériales de France, et à M. le baron Kervyn de Lettenhove, à Bruxelles.


AUG. SCHELER.


Bruxelles, septembre 1868.