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ce n’est pas à lui ni à M. Robertson qu’il a tenu que j’eusse communication du carnet de notes de Voltaire.

J’adresse donc ici à tous, amis, collègues et élèves, l’expression de ma vive gratitude. Je remercie aussi MM. les Bibliothécaires de la Bibliothèque Nationale, de l’Arsenal, et de la Mazarine dont j’ai éprouvé la constante obligeance, en particulier MM. Montreuil, Marchai et Teste, de la Bibliothèque Nationale, et mon ami Paul Bonnefon, de l’Arsenal. Je dois une reconnaissance toute spéciale à M. Marcel, directeur delà Bibliothèque Nationale : les facilités qu’il m’a données pour consulter les éditions de Voltaire m’ont permis de faire des collations nombreuses dans un temps relativement court.

Je remercie aussi l’administration du British Museum grâce a laquelle j’ai pu, au mois d’août 1907, compléter mon travail et voir beaucoup d’ouvrages anglais, principalement des journaux, que je ne trouvais pas à Paris.

Enfin il faut que le lecteur sache qu’il doit à M. Mario Roques tout ce qu’il y a de bon dans l’exécution typographique et l’ordonnance de ces deux volumes. M. Roques, de plus, m’a fait au cours de l’impression plus d’une remarque utile sur le fond des choses. J’ai largement profité de son expérience d’éditeur et de son attention critique toujours en éveil. Je lui ai les plus grandes obligations.