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Selon Edward Higginson, Voltaire avait d’abord traduit le tu latin par vous, et le jeune quaker s’était amusé de cette méprise. C’est donc lui qui décida Voltaire à corriger sa traduction Cf. Appendice au commentaire de la let. I).

38. Nié par Josiah Martin. Et Sewel (604, sous la date 1675) : « King Charles, it seems, was not to be the man that should take off this yoke of oppression. » Cependant Sewel a enregistré une promesse de tolérance de Charles II (cf. n. 36).