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Page 447, ligne 7. — En 1760, il y avait seulement :

Quel dessein horrible ! hélas ! pourquoi, etc. (B.)

Page 448, ligne 10. — Dans les éditions autres que celle que j’ai prise pour copie ce couplet commençait ainsi :

Ces petites fantaisies de filles passent vite, et ne sont pas dangereuses. Que voulez-vous que je fasse à une fille qui se trouve mal ? Est-ce pour cela que vous m’avez fait descendre ? Je croyais, etc. (B.)

Page 450, ligne 6. — Dans les éditions ordinaires on lit :

Ce barbouilleur de feuilles.

Dans l’édition que j’ai prise pour copie il y a Wasp ; mais Voltaire ayant, dès 1761, rétabli le nom de Frélon, c’est, ce me semble, ce dernier mot que je devais mettre ici. (B.)

Page 451, ligne 40. — Dans les éditions ordinaires on répétait, après Jour et nuit :

C’est une conspiration. (B.)

Page 453, ligne 4. — Dans les éditions, autres que celle que j’ai prise pour copie, après cette extrémité on lisait :

J’ai honte de m’être servie de ce faquin de Frélon. (B.)

Ibid., ligne 3. — Dans les mêmes éditions on lisait encore :

Je suffoque. (B.)

Page 454, ligne 23. — Dans les mêmes éditions, après d’ici il y a :

La maison est trop publique. (B.)

Page 455, ligne 23. — Dans les mêmes éditions on lisait de plus :

Que deviendra ma fille infortunée ? Elle est peut-être ainsi la victime de mes malheurs ; elle languit dans la pauvreté ou dans la prison. Ah ! pourquoi est-elle née ? (B.)

Page 456, ligne 31. — Dans les mêmes éditions, au lieu de oblige on lit :

… Rend service. (B.)

Page 459, ligne 6. — Dans les mêmes éditions il y a de plus :

Hélas ! elle n’est pas de ces filles qui s’évanouissent pour peu de chose. (B.)

Ibid., ligne 17. — Dans les mêmes éditions, après moments on lit :

Les filles qui se sont évanouies sont bien longtemps à se remettre avant de recevoir une visite. (B.)