corrigez :
Sur un coursier superbe à nos yeux se présente…
N. B. L’olivier n’est point symbole en Perse ; et s’il l’est, on ne doit pas dire : Viens-tu nous insulter…[1].
Même scène, mettez :
Son adorable fille… [7 vers.]
Acte II, scène i, corrigez ainsi :
Après mon infortune… [9 vers.]
Hélas ! veux-tu m’ôter, en croyant m’éblouir,
Ce malheureux repos dont je cherche à jouir.
Au parti que je prends je me suis condamnée.
Va, si j’aime en secret les lieux où je suis née,
Mon cœur doit s’en punir : il se doit imposer
Un frein qui le retienne, et qu’il n’ose briser.
N’en demande pas plus. Mon père veut un gendre ;
Il ne l’ordonne point, mais je sais trop l’entendre.
Le fils de son ami doit être préféré…
Acte III, scène i :
Commencez cette scène ainsi :
Quoi ! c’était Obéide… [4 vers.]
Même scène :
Elle aura rassemblé… [4 vers.]
Croyez-moi, les sanglots sont la voix des douleurs,
Et les yeux irrités… [5 vers.]
Hélas ! s’il était vrai ! Tu me flattes peut-être.
Ami, tu prends pitié… [3 vers].
Cette même scène doit finir ainsi :
Marche vers la cabane où son père réside.
Je l’aperçois.
- ↑ Cette note est en marge de l’original, où elle est suivie d’une seconde, écrite d’une main différente : « Pourquoi avoir rétabli dans l’édition de Genève l’olivier à la main, etc. » ?