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1828. 
Le marquis d’Argenson. Paris, 10 juin. — « Je vous ai envoyé ce matin. » 
 C. et F.
1829. 
Le prince de Craon. Giugno. ‑ « Un cittadino avanzato al titolo. » 
 B.
1830. 
Agli Accademici della Crusca. Parigi, 12 giugno. ‑ « Eccellentissimi signori, il favore. » 
 B.
1831. 
Le chenalier Falkener. Paris, 13 juin. — « My dearest and most respected friend. » 
 C. et F.
1832. 
M. Berger, directeur de l’Opéra. Du 13 juin, « Il me serait bien peu séant. » 
 B.
1833. 
Le marquis d’Argenson. Paris, jeudi 23 juin. — « Triomphez en tout. » 
 C. et F.
1834. 
M. Fr. Muller. Versailles, 28 junii — « Si longo et gravi morbo. » 
 B.
1835. 
M. Bourgeois. « Puisque vous travaillez. » 
 Rev. de l’Aunis.
1836. 
Al signor sesretario dell’ Accademia etrusca di Cortona. Versaglia, 3 luglio 1746. — « Mi pare che io sia aggregato. » 
 B.
1837. 
Al signor Guadagni, segretario della Societa botanica à Firenze. Versaglia, 3 luglio. — « Tra i grandi favori. » 
 B.
1838. 
Maupertuis. À Versailles, le 3 juillet. — « Je compte que vous avez reçu d’Utrecht. » 
 B.
1839. 
De Louis de Travenol à l’abbé d’Olivet. 6 juillet 1746. — « La part que vous prenez. » 
 H. B.
1840. 
M. Bollioud Vermet. 12 juillet. — « Je vous remercie, monsieur, du livre. » 
 B.
1841. 
Le marquis d’Argenson. 22 juillet. — « Eh bien, monseigneur, il faut marier. » 
 C. et F.
1842. 
Le comte d’Argental. Août 1746. — « Que dites-vous de moi. » 
 C. et F.
1843. 
Le comte Algarotti. 13 agosto. — « Si compiacerà, per questa volta. » 
 B.
1844. 
Cideville. Paris, 19 août. — « Pardonnerez-vous à un homme. » 
 B.
1845. 
Le comte de Tressan. À Paris, 21 août. — « Je dois passer dans votre esprit. » 
 B.
1846. 
Frédéric II, roi de Prusse. Paris, 22 septembre 1746. — « Votre personne me sera toujours chère. » 
 B.
1847. 
Le maréchal de Belle-Isle. Fontainebleau, 27 octobre 1746. — « Permettez, monseigneur, qu’un homme. » 
 B.
1848. 
Cideville. À Fontainebleau, ce 9 novembre 1746. — « Je ne sais plus qui disait. » 
 B.
1849. 
Le comte Algarotti. Parigi, 13 di novembre. — « Non ho voluto ringraziarla. » 
 B.
1850. 
De La Place, vis-à-vis la barrière des Sergents, à Paris, 26 novembre. — « On me renvoie de Versailles. » 
 C. et F.
1851. 
D’Alembert. Le 13 décembre 1746. — « En vous remerciant, monsieur, de vos bontés. » 
 B.
1852. 
M. Moreau, avocat du roi au Châtelet. Paris, ce 13 décembre 1746, rue Traveraière. — « J’ai l’honneur de vous envoyer. » 
 H. B.
1853. 
De Frédéric. 18 décembre. — « Le marquis de Paulmy sera reçu. ». 
 Pr.