Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome3.djvu/529

Cette page n’a pas encore été corrigée

VARIANTES

DE LA GOxMÉDIE DE LEXFAXT PRODIGUE

Page 4o3, promior vers. — L’édition de I73<S porte : Ce que le ciel nous refuse en beauté.

V ; \%o oOo, vers o. — Édition de 1738 :

Que t’a-t-on fait ? qu’est-ce que tu poursuis ? Que cherciies-tu ? qu’as-tu ?

F I E R E M" A T.

J"ai que je suis… Ail ! je le suis ; oui, je le suis, beau-père ! Oui, je le suis.

KONDON.

Comment donc ? quel mystère

F 1 E n E.\ F A T.

Votre fille… ah ! je suis, je suis au bout.

RONDON.

Si je croyais…

FIERENFAT.

Vous pouvez croire tout. rage oli, vers 10. — Edition de 1738 :

LISE.

Je le veux ; Eh bien ! sachez…

SCENE VI.

LISE, EUPHÉMON pfre, FIERENFAT, RONDON, EUPHÉMON FILS, lépée à la main ; MADAME CROUPILLAC, exempts.

FIERENFAT.

Vite, qu’on l’environne ; Point de quartier, saisissez sa personne.

RONDON, aux exempts. Montrez un cœur au-dessus du commun ; Soyez hardis, vous êtes six contre un.