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i.A viyyv : m- ijklkhat-

(jn’oii tr()ii\(’ « •li>. C’est ("liVz le ; — ; r ; wHl Courdiiiiaiiclic.

Salut au cuiv ( ! •" CounlimaiiHic : ^

Oli ’ ([uo (•"est iiu iKunnic d’niii 1

Sa nuMiagère est IVaiclic et l.laiiHic, Salut au curé do Courdiuuuichc :

Sûr d’une soif que rien n’étanclu’,

11 viderait cent lirocs de vin : Salut au curé de Courdimaudie :

Oh : que c’est un homme di\in :

|),i pain l)is, une simple édanche ; Salut au curé de Courdimauche :

Maigre ou gras, bécassine ou tanche.

Tout est hon dès qu’il a du vin. Salut au curé de Courdimauche ; ^

Oh : que c’est un homme divin 1

Des vers, il en a dans sa luanche-, Sahit au curé de CourdinuAUche-,

Aucun repas ne se retranche ;

En s’éveillant il court au vin. Salut au curé de Courdimauche-,

Oh ; que c’est un homme divin !

.La scène change, et représente Vagonie du curé do Courai.anche : il parait étendu sur un Ut.)

CHOEUR.

Ah ! notre curé S’est bien échaudé, Faisant sa lessive ^

Ah : notre curé

Est presque enterré,

Pour s’être échaudé.

UN HABITANT,

Et du même chaudron (/’/s) La pauvre Bacarie A brûlé son…

, -,,.,U.« , »bc s„,esian,„« .,„ » c„ »diéro d’eau >,o.nia„.c. On,o.appose

<i incommodé ({U-il est à Vextremite.