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284 LA FETE DE BELÉBAT.

Triomphez, f^rand Counliiiianche, Triomplioz des pins grands cœurs : Ce n’est (jiraiix plus raiiiciix l)i]vours Oiiil est pcniiis de manger votre éclanclie’.

(Uno nj’iiiiilu’ lai présenta un vcrro de vin.) l \ HABITANT chante.

Versez-lui de ce vin vieux,

vSilvie, Versez-lui de ce vin vieux, Encore un coup, je vous prie, L’Amour vous en rendra deux. \éuus permet ([u"en ces beaux lieux

Bacclius préside ; Le curé de ce lieu joyeux Est Je druide : Honneur, cent fois liouneur A ce divin pasteur ; Le plaisir est son j^uide : Que les curés d’alentour Viennent lui faire la cour.

Ain : I.e pays do Cocagne (d’une comédie de I.egrancL.

OÙ trouver la.gràce du comi(|ue,

l n style noble et plaisant, El du < ; rand et sublime traj^icjue Le récit tendre et touchant ? \ollaire a-t-il tout cela dans sa manche ? Et Ion lan Ja Ce n’est pas là Qu’on trouve cela. C’est chez le grand Courdiiuaiiche.

En fait de cctle donce liai’nionie

Qui charme et séduit les cœurs, Des maîtres de France on d’Italie Qui doit passer ponr \ain(|U(Mii’s ? Entre Miguel el Liilli le clioix penche ; El Ion lan la Ce n’esl p ; is là

I. M(>ts que le ciiri vantail Ixvuicuiip. (K.)