Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1904.djvu/183

Cette page a été validée par deux contributeurs.
190
UNE FEMME M’APPARUT…

Jamais, elles n’osèrent unir leurs lèvres passionnées et solitaires. Elles moururent sans détruire dans leur âme le charme infini du Désir et du Regret.