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ANNE BOLEYN

amant de la jeune Reine-Veuve et qui ne l’épousa que par surprise d’adultère. Cet époux de Mary Tudor, Reine douairière de France, déjà morte, fut l’un de ses ennemis les plus inexorables.

Le second témoin est un fils bâtard de Henri VIII, le duc de Richmond.

Voici encore parmi les abominables témoins, de Wolsen, qui abandonna le maître duché d’or, Cromwell, ce. maître que la jeune et tremblante Anne Boleyn sut, autrefois, anéantir.

Les voici tous, ces témoins de sa vie heurtée de jadis, témoins aussi de sa belle mort royale.


CHAPITRE XLI

Les dernières paroles d’Anne


Anne dit avant de mourir :

« Je vous rends grâces, à vous qui m’avez servi fidèlement, et jusqu’à la fin.