étroites, et souvent garnies de claires-voies en pierre d’un travail assez délicat et d’un joli dessin. Il n’existe qu’un très-petit nombre d’exemples de ces claires-voies, remplacées plus tard par des verrières.
Nous en donnons un, fig. 7, qui provient de l’église de Fenioux[1]. C’est une dalle de 0,055m d’épaisseur sur une largeur de 0,27 c. La pierre est dure et finement taillée ; les ajours biseautés à l’intérieur et à l’extérieur. Notre figure présente la face extérieure de la dalle qui n’est point posée en feuillure, mais dans l’ébrasement même de la baie, ainsi que l’indique la fig. 7 bis, A étant le côté extérieur. Les jambages des fenêtres ouvertes dans les murs des édifices religieux des Xe et XIe siècles étaient habituellement dépourvus de toute décoration ; les archivoltes seules, au