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bas, je fourrai tout ce que j’avais, pêle-mêle, dans ma valise, et je me mis à fuir par le jardin, escorté silencieusement et jusqu’à la porte, par le basset. Je courus, d’une haleine, au bureau des diligences, je m’installai dans la première rotonde venue, et j’éprouvai un grand plaisir, — au premier ébranlement des roues et au bruit des postillons qui soulevaient l’attelage à coups de fouet. — Je sentais que je m’éloignais de la maison Lenoir !… en laquelle je me promettais, in petto, de ne jamais remettre les pieds, même pour sauver mes derniers jours.


Ah ! ah ! je repris le cours de mes grandes découvertes. — Je vis du pays ! — Je puis même dire que j’ai fait faire à la Science des pas de géant !

— Mais l’important est d’achever cette histoire. Ce que j’ai à dire est une chose si