DE ITIDQGQ. 3
et il ygal plus d’un ane à la foire qui-s ?appellc Martin. Il serait nécessaire que vous m ?ap »— prissiez SO] ! nom de famille, 9*1 (mit au moins que yous me fissiez : de sa personne une description assez ldétaillwée pour qu’on le reconnaître. ’· s ·
— » Son nom, de famille § figqore ·sÈiL en >)’aVait |m ; ceS jgens-là n’en ont pas : d’01’di »., naine’, ils ont celui qu’on leur tlonner Je l’appelais I, aurent, parce que cela · me »A>e¤··· venait, § et parce que. Ãïetait le nom.cle, son >à prédécesseur : cela seztransxnet. awçç la liyx ;é¤.· Quaznthà pays, ne vous llai- »je g1s ; ditP il test Normand, [Champenois’, .Pic, arçl ; on gs Lorrainï Pour ce, qui est. de sa personne, sa, >• est ;Q1’di :¤3î !’F ; ·$9$ XeuX> mou Dlëllll a des yeu ; Q0.IT§ 1§ Df$ tnufnle ;¤1Ql ; de, comme vous, comme.mpi, ’cpxnmeamaden moisellejxspn injep : nÈaî.rien-de riztnarqiiiüële, sa lgouche ; espy., jm p’ai jamais Èait, attention ” à S ? bOllCll§ •«O !î î HI} ¢lom€$îïlql1% »:€î:¢R§ lPP¤T se faire servir ; vous sentez lpieq·.qufpp’qe le regg1·de pas«~·a·, A9l¤¤@ me jM¥ïQïê«H ?i°9· lm wyaperçu, étaitbnm Qu l · M·U ?>·’%M$’ nxllil’l.’l@1’lH’l4dÉ€·5IP, Ãl ”.émi*hl’D·â•’·.£ ; m : m· z, ; < «. ·î·. ·’= Tous 1v. 3
