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barrassât notre territoire de cette population roulante dont la circulation, impossible à surveiller, est un véritable fléau : aujourd’hui que dans le moindre village il existe des professions qui répondent à tous les besoins, on ne conçoit pas que des_mesures n’aient pas été prises pour contraindre à la résidence ces ambulants de toute espèce ; ces déplacements d’individus qui colportent une industrie, ou un commerce, ne peuvent être soufferte que dans les temps de barbarie, ou chez un peuple dont la civilisation est à peine ébauchée.