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qu IIÈHOIBIBet

monte en voiture avec son fidèle John. pi Clique, elaqçpe ; bon train postillonne ; crève la ne dlevalet né pas casse cou 5. mo-a, le récom’u pense- il est au bout. Conduis milorcl sur les I’bas côtés de la route n, crie à s’égosiller, Paubergiste quitrembie <fu’il n’a rrive quelque accident à sa seigneurie. « Oh ! Dieu, dit-i] à sa femme, u’pourvu qu’il ne s’aperçoive pas combien nos chemins sont en mauvais état ! heureusement il fait sec. ·

-·— »· Oui, mais la poussière. ·

—L » Pourquoi ne lui avoir pas mis dans la ’ » voiture, une bouteille de ton sirop de limon ? -·— » Je n’y ai pas songé.. ·

— Su Voilà comme tu es, tu n’en fais jamais ’ » d’autres. Postillon, postillon, monsieur John, xs milord ; bath ! ils sont au diable. Ciel, se dit ùz petto le complaisant aubergiste, guide les coursiers qui emportent César et ma fortune !l ! » Enfin vient le trois çlu mois" ; Paubergiste, dans ’la crainte de faire une sottise à miliord, liattend encore prësde six semaines..·. ; de laps de temps écoulé, il se glécide à lever l’emImrgo... ; la porte s de Parmoire est forcée, le bonnet est à sonposte, il sien empare, dénoue le cordon... 5 que trouve-I t-il ? du billon.