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un vrn¤¤Q• · ses HENBIQZTTE. n’C’est une surprise qu’elle nous ’ nién age. ’ A · ’ J ADELE (se tordant les bras  » Une surprise, oui, je t.’en ménage une. · · HENBJETTE. » Ne fais donc pas comme cela n craquer tes membres". Tu m’en donnes le frisson... ’ ADELE. » Le frisson". Ce n’est rien..—. SUSANNE. » Elle a perdu la tète. ADELE. » Non, je ne l’ai pas’perdue... Je l’ai ma tête, la voilà (elle la prend dans ses mains FnÉDÉ1uc. » Tout cela ne nous donne pas U D à dîner E ADELE. » Écoutez. FRÉDÉRIC. » Je n’écoute pas. S’il y a à croustiller, pourquoi ne pas le dire ? ADELE. » Non, non, encore une fois... Vous n’avez rien à attendre. ’ SUSANNE. » Et ce charbon pourtant.... c’est là ce qui IIl, iDÉl’ig11C ; nous ne mangerons pas ’du charbon. ’ ’ ADELE. » Écoute Susanne..... Écoutez mes ’ »· enfants. J’ai tout mon bon sens, aussi bien rv que vous pouvez l’avoir ; mais mon parti est · pris... Je ne veux pas pâtir davantage. Ce