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ut mutants.

-···· » Un mot, un seul mot. ·

»Cette femme estinsnpportablel...Ehbien ! quel est ce mot ? Ne me faites pas languir ; vqus le voyez, on vient me chercher » (Il se tourne’ vers la porte, et faisant de la tète plusieurs inclinations accompagnées de ce sourire plein d’·a·~ I ménité, qui, sur une physionomie exercée, peut se marier à une expression contraire, · il imprimeà sa main un aimable balancement).’u Une minute, mon cher marguillier, Palfnire si expédiée, je vous suis. »

Adèle est encore une fois saisieà l’apparition de la grande figure ; car le marguillier est aussi le commissaire de bienfaisance : sa langue s’est attachée à son palais ; le curé la presse de parler. — « Est-ce pour aujourd’hui ? ·

— xp Je suis sans pain !.... » est, au milieu des sanglots et’des pleurs, tout ce qu’elle parvient à faire entendre.—

« Encore lamème chanson ! vous me Tavez déjà dit ; au reste, si vous voulez qu’on s’in téresse à vous, commencez par faire votre paix avec le ciel. Tàchez d’obtenir la rémission die vos péchés ; faites une confession générale, et a pportezr-nous un billet qui atteste que " vous avez rempli ces actes de catholicité ; enfin