Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/187

Cette page n’a pas encore été corrigée

un. inca ;. in longs plis de l’immense robe de chambre dans laquelle il est enveloppé, a cru reconnaître la grande figure à laquelle avaient obéi les mouohards. A ce moment un domestique paraît. s + « Qu’ordonne, monsieur ? ’ — >i Dites à la cuisine qu’on serve mon second déjeuner, et dépêchez- vous, je me meurs de faim. Vous ferez mettre les chevaux sa à la voiture pour trois heures. -· » Monsieur ira-t-·il à la bourse ? — » Oui, allez. •• Adèle est immobile et muette. « Quand vous me regarderez jusqu’:) demain, lui dit le commissaire, que vous en reviendra·—t-il ? Voulez-vous m’obliger— à vous faire prendre par les épaules ? Je vous le répète, \voyez J). D I Adèle n’avoit rien à objecter, et moitié indignée, moitié interdite. « Je vous remercie, ditelle au commissaire, en prenant congé de lui, je suivrai votre avis. 11 ’ · 5 - 1 2.