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CHAPITRE LH-Adèle

d’Ésoars. — Le premier pas. — Nom d’emprunt. - La fatale inscription. — Lebureau des mœurs et les petits écus. — Les demande maison et le pied àterre. — Uhonneurest comme une do. — La toise du préfet et les griffes de Satan. — Une radiation publique. — Le désespoir des pareps. — M. de Belleyme. - Les voleurs en herbe. — Le Chapitre des caùrioleurs. — Bonne tète et bon cœur. — Les hautes payes. — Une privation. L’une des plus intrépides cambrioleuses était · la nommée Adèle d’Escars. Jamais n’ai vu de plus jolie personne ; elle semblait avoir été créée sur le modèle d’une de ces madones divines, enfantées par l’imagination de Raphaël. Des tresses blondes magnifiques, de grands yeux bleus, qui expriment toutes les (louceIJ, l’s de · l’ame, un front céleste, une bouche ravissante, des traits pleins de candeur, une taille svelte,