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’ 4— » Oui, guéri, mais qui sait si je ne re- ’ tomberai pas bientôt ? ’

— — » Il faut espérer que non. » · Henriette est enchantée des bonnes façonsfde la dame 5 elle veut en faire sa compagnie. Enfin, nous nous convenons si bien, les •ms lesiautres, que désormais nous serons unis comme les doigts de la’main’: ce sera trois têtes dans le même ’bonnet, ou plutôt trois corps dans la même che¤ mise. La prétendue Joséphine, à la suite d’une histoire si touchante que Henriette en fut attene drie, nous apprit qu’elle logeait dans une maisson.@ ; nie de la rue Guérin — Boisseau. Après que nous eûmes fait l’échange de nos adresses, — elle mediiî: « Ahça ! écoutez, vous savezque dans le temps vous avez obligé mon homme si d’une piëce de vingt francs, il est justeque ’ » je vous la remette. » Je fis quelque diiiicuité cle prendre les vingt francs, cependant jecédai, et dès ce moment Henriette., que le procédé ’ touchait encore plus que l’histoire, entra en · grande conversation avec l’honnête moitié de mon ami : Yentretien roulaiteur moi z « Tel que n vous le voyez, madame, disait, ·en me dési~· gnant, la ci·~ ; levant épouse de Charpentier, je’ne le changerais pas contre un autre, quand 7 •