Page:Verne - Un neveu d’Amérique, ou Les deux Frontignac, 1873.djvu/70

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Marcandier.

Pas trop petit ! Tu peux même ajouter tous les matins.

Dominique.

Parfait ! Mettons-en deux !

Marcandier.

C’est que, ce cher Frontignac, s’il lui arrivait malheur, je ne m’en consolerais jamais !

Dominique.

Ah ! Monsieur est bien heureux de posséder un ami aussi sincère ! aussi dévoué !

Mercandier.

Et un serviteur aussi éclairé, aussi intelligent !

Dominique.

Ah ! voici monsieur !

Marcandier.

Silence sur tout ce que nous avons dit.

Dominique.

Je crois bien (Il sort.)


Scène VIII

MARCANDIER, FRONTIGNAC.
Frontignac, venant de droite.

Monsieur Marcandier !