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KAZONNDÉ


Dick Sand saisit un coutelas et il le lui enfonça dans le cœur. (Page 276.)

Au grand désappointement du novice, ni Harris, ni Negoro ne faisaient partie de la suite d’Alvez. Dick Sand devait-il donc renoncer à l’espoir de les retrouver à Kazonndé ?

Cependant, le chef de la caravane, l’Arabe Ibn Hamis, échangeait des poignées de mains avec Alvez et Coïmbra. Il reçut nombre de félicitations. Les cinquante pour cent d’esclaves qui manquaient au compte général amenèrent bien une grimace sur la face d’Alvez ; mais, en somme, l’affaire restait bonne encore. Avec ce que le traitant possédait de marchandise humaine dans ses baracons, il pourrait satisfaire aux demandes de l’intérieur, et troquer ses esclaves contre les dents d’ivoire et ces « hannas » de cuivre, sortes de croix de Saint-André