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matique manquait encore aux divers points relevés par les voyageurs, du moins les usages, les mœurs des habitants, les productions des divers pays, les modes d’échange, les coutumes religieuses étaient suffisamment connus ; les navires, profitant des vents réguliers, pouvaient se hasarder avec plus de confiance sur les mers ; les caravanes savaient se diriger plus sûrement à l’intérieur du continent, et c’est grâce à cet ensemble de connaissances, répandues par les écrits des savants, que le commerce prit un essor considérable dans la dernière période du moyen âge.