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À PROPOS
DU DERNIER LIVRE POSTHUME
DE VICTOR HUGO

Suite[1].

. . . . . . . . . . . . . . . .

— « Je ne suis pas républicain parce que je n’ai aucun intérêt à ce que M. Ledru-Rollin paie ses dettes. »

Ces paroles que j’emprunte à Victor Hugo d’après Barbey d’Aurevilly, un contemporain qu’il n’y a nul motif de suspecter, étaient prononcées au lendemain de la révolution de 1848. Chacun sait que, pensionné sous la Restauration, le poète, après quelques velléités d’oppo-

  1. On a lu, dans le premier Tome des Œuvres Posthumes de Paul Verlaine, les premières pages de cette Étude, dont nous avons retrouvé, depuis la publication de ce Tome, les pages que nous donnons ici.
    (Note de l’éditeur).