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m’attache le ruban à la patte, quand bien même l’on me flatteroit de l’honneur d’être croqué par une éminence.

Nous avons, vous et moi, deux tâches bien difficiles à remplir : si vous tuez votre malade, c’est pour toujours ; et moi, si je n’ai pas soin de son ame, il est perdu pour l’éternité. Travaillons donc avec zèle, et marchons avec fermeté et courage chacun dans notre état.

Adieu, je vous embrasse de tout mon cœur.