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n’estoit pas la mienne et qu’il y avoit du changement à mon ordinaire. — Je ne sçay laquelle j’avois, fit l’autre, mais je n’eus jamais un tel contentement. — Morbleu ! tu avois donc la mienne, dit l’un, car c’est la plus subtile qu’il y ait en France, et ne croy pas qu’il se trouve hacquenée qui trotte plus doux ? »

Voilà à quoy, pour le present, je desire conclurre ce present discours, laissant pour la seconde partie ce que devinrent messieurs nos courtisans, et les estranges advantages qui leur arrivèrent au sujet des bourgeoises, et de la procedure qui a esté faite, tant de leurs chevaux que contre la matrone, ensemble aussi ce qui s’est passé (depuis le pot aux roses descouvert) entre les bourgeois et leurs femmes, ce qui (m’asseure) donnera autant et plus de contentement aux lecteurs que le contenu de cette première partie.