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Aux Étoiles.





Und wüssten sie mein Wehe,
........Die goldnen Sternelein,
........Sie kämen aus ihrer Höhe,
........Und sprächen Trost mir ein.
H. Heine.





Ô splendeurs du ciel, douces fleurs de l’ombre,
Lis épanouis,
Qui brillez là-haut, qui brillez sans nombre
Au jardin des nuits !

Sous la main de Dieu blanches fleurs écloses
Au matin des jours,