Page:Van Hasselt - Nouvelles Poésies, 1857.djvu/111

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


La Cloche qui tinte.


À MA MÈRE.






Εtς τόυ αίώυα.
Saint Jean, Épitre II, v. 2.





Le soir déployait tous ses voiles
Dans l’air, comme un vaste linceul.
La nuit allumait ses étoiles,
Et moi je partais triste et seul.
Le ciel voyait fondre ses teintes,
Et vous finissiez, mes beaux jours…