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ments, l’assurance de mes sentiments bien dévoués.

 » Thérésa.

» Paris, le 13 janvier 1864. »


Je donne à cette lettre une place dans ces Mémoires parce qu’elle réfute, une fois pour toutes, le reproche qu’on me fait sur ma manière de dire mes chansons, et non pour céder à un sentiment de haine contre M. Villemot.


J’avoue que j’avais d’abord l’idée de me venger dans ce livre des attaques que M. Villemot n’a cessé de diriger contre moi dans tous les journaux dont il dispose.

C’est un parti pris.

M. Villemot ne comprend pas mon succès, et il a peut-être raison.

Voilà tout.


VI


Mais j’aurais mauvaise grâce à nier sa valeur.