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dans la poésie lyrique sans dépasser de beaucoup, excepté Balassa, la médiocrité. Ce ne fut que deux cents ans après qu'un tout jeune poète réussit à faire de la poésie lyrique hongroise la digne sœur des autres poésies de l'Europe.

Beaucoup d'écrivains s'illustrèrent en écrivant des grammaires, des dictionnaires et d'autres ouvrages philologiques, et contribuèrent ainsi, en grande partie, au perfectionnement de la langue. Les sciences aussi marchaient de pair avec les belles-lettres.