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y Ait tronré, en ontre, one croche od amphore en terre roage&tre ^ossière, qui avait 25 centimètres de haatenr sm- 20 de lar^ur à sa partie la phn érasée, et dont la forme était celle représentée dans la fig. 2 de la pl. XVIIi. Le goulot, en terre roogeâlre et sans coaverte, d’un flacon {fig. Z de ta pi. XVIII) qui devait avoir la forme de nos bouteilles en grès ou cruchons, et que ne rappelle ancun de cenx des vases analogues dessinés dans la pi. XXIX de l’Atlas de l’ouvrage de M. de Caumont (1), fut rencontré dans les jardins de H. Potier.

en fut de même d’un antre vase entier en terre notre (Fig. 4 d9 la 

pi, XVIII) qui a quelqn’aualogîe avec une nme fnnérùre représentée dans Il fig. Z de la pt. XXIX de l’Atlas de l’ouvrage du même auteur (2). Ia fig. 5 de ta pt. XVIII offre un fragment de poterie rouge fine et à cooverte brillante, trouvé dans la même localité, ne laissant voir qu’une partie d’un personnage levant nn bras au dessus de sa léte, et placé entre deux rangs verticaux de pertes, tandis qu’an dessus court une frise élégante simulant une espèce de guirlande.

H. Jouaust retira encore du même puits, beaucoup de fi-agmens de poteries rouges et noires, sur le fond de l’une desquelles existait un cachet portant l’inscription ALHACIN.

Enfin, le même rencontra, an dessons d’un jeune arbre, dans sa propriété, un second cercueil gallo-romain en pierre calcaire coquillïère, creuaée en auge, qui était rempli de cliaux dans laquelle on reconnaissait les empreintes d’ossemens humains et fermé supérieurement par des tuiles plates à crochets (3).

probablement près des toyers, comme les images de la Sainte-Vierge et des Saints le sont encore de nos jours sur les cheminées des habitants de ta campagne. Elles étaient rorm6M de deux demi-bosses empreintes dans des moules de deux pièces, lesqu’elles étaient ensuite réunies et raccordées au moyen du collage des bords. (Coun d’Àntiquiléi de M. de Caimont.) (0 11 existait des poteries ro>jges et grises sans couTertes, formant des assiettes, des plats, des bouteilles et des vases de difiértntes formes, partds ornées de guillocbis et de filets. {%) L’orifice de œs urnes en terre, dans lesrjuelles on recueillait les cendres du défunt, était fermé, tanlùt avec une plaque en cuivre, tantdt avec une assiette retournée, et fréquemment avec une brique ou une ardoise. On trouve souvent t oMé d’elles d’autres petits vase* i cd très-allongé, en terre rouge, ayant renfermé du vin, du lait ou d’antres liqueurs oSbits au mânes du mort. (Cours d’AntiguiUt JtonunMnJofei d» M. di Caumont.) (3) L’usage de brûler les corps a’ été généralonent répandu pendant les deux premiers