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XIII


— La barinia dort-elle ou non ? demanda soudain à Aksioutka une grosse voix de moujik.

Elle ouvrit les yeux qu’elle tenait fermés, et vit une silhouette qui lui sembla plus haute que la maison. Elle poussa un cri, fit volte-face et vola si vite que son jupon n’avait pas le temps de la suivre.

D’un seul bond elle était sur le perron ; d’un autre dans la dievitchia. Là, avec un sanglot sauvage, elle se jeta sur le lit.

Douniacha, sa tante et la seconde servante